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Les maisons arrivent enfin

Les nouvelles inscriptions et la demande comprimée assurent un bon départ pour le marché du printemps

TORONTO, le 8 avril 2014 – Les courtiers immobiliers de partout au pays ont constaté une augmentation du nombre de propriétés à vendre, particulièrement au cours du dernier mois du premier trimestre de 2014, après l’activité particulièrement lente connue sur le marché immobilier résidentiel cet hiver. Le marché du printemps, qui s’annonçait décevant, a pris un tournant au cours des dernières semaines du trimestre.

Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage, publiée aujourd’hui, la plupart des régions ont connu une saine croissance des prix en glissement annuel, le prix moyen d’une propriété au Canada ayant augmenté entre 2,5 et 5,4 pour cent. Au premier trimestre, le prix moyen d’une maison à deux étages a grimpé de 5,4 pour cent à 428 943 $, tandis que celui d’une maison individuelle de plain-pied s’est majoré de 4,4 pour cent sur 12 mois pour atteindre 380 765 $. Le prix des appartements en copropriété standards, qui a affiché des gains légèrement plus modestes de 2,5 pour cent, s’établit à 252 174 $. Les régions de Toronto, de Winnipeg, de Calgary et d’Edmonton ont connu les hausses de prix les plus importantes, tandis que certaines parties du Canada atlantique, où la plupart des habitations à vendre sont encore sous la neige, ont enregistré les gains les plus bas au total.

« Il semble que les tout premiers signes du printemps ont suffi pour tirer les vendeurs de propriété de leur hibernation, indique Phil Soper, président et chef de la direction chez Royal LePage. Dans l’ensemble du pays, les nouvelles inscriptions arrivent enfin dans des quantités appropriées pour la saison. Ajoutons à cela la demande comprimée causée par l’hiver particulièrement long et rude, et tout est en place pour que nous connaissions un marché du printemps robuste en 2014. C’est là une nouvelle particulièrement positive pour les acheteurs, car ces inscriptions supplémentaires devraient peser sur les prix, qui ont atteint un sommet dans certaines villes. »

L’économie canadienne continue à prendre du mieux, la Banque du Canada projetant à l’heure actuelle une croissance du PIB de 2,5 pour cent en 2014. Les grandes institutions financières, dont RBC et la Banque TD, ont diffusé des prévisions économiques correspondant à cette projection, soit de 2,5 et de 2,3 pour cent, respectivement. Sur le marché du travail, l’emploi a montré la même vigueur en fin de trimestre que le secteur de l’habitation : il a dépassé les attentes, et le taux de chômage a retrouvé son niveau le plus bas en six ans, soit 6,9 %.

« Avec la série de facteurs économiques à l’appui qui entre en jeu, nous nous attendons à ce que le marché immobilier du pays conserve la robustesse dont il a fait preuve au deuxième semestre de 2013, affirme M. Soper. Alors que l’économie s’améliore, le gouvernement fédéral est bien positionné pour présenter son premier budget équilibré après la récession. Les taux d’intérêt devraient continuer à appuyer le secteur pour le restant de l’année, et l’amélioration de la situation chez nos voisins du Sud a renforcé le dollar américain, ce qui alimente la demande pour nos exportations relativement plus abordables. »

« On mentionne encore une surchauffe du marché immobilier et une bulle immobilière dans le discours général, mais de moins en moins souvent, de conclure M. Soper. Des principaux types de propriétés, le segment des appartements en copropriété demeure le plus exposé à un repli des prix à court terme en raison du nombre plus élevé de propriétés à vendre, mais la situation se limite à quelques villes. Les prévisions à moyen et long termes pour ce secteur d’habitation demeurent très positives. »

En décembre 2013, Royal LePage a publié un rapport de recherche pour aborder les craintes d’instabilité du marché causée par le volume important de projets d’immeubles en copropriété et la possibilité d’un afflux majeur de nouvelles inscriptions dans les plus grandes villes canadiennes. Le rapport a permis de constater que même si le marché des appartements en copropriété pourra connaître de la turbulence à court terme alors que nous passons de ventes très fortes à des mises en chantier légèrement réduites, la vie en appartement en copropriété joue, et continuera à jouer, un rôle important et bien établi dans les marchés immobiliers des plus grandes villes du Canada. Ce rôle continuera à prendre de l’ampleur, ce qui se traduira par une demande soutenue et l’accroissement du nombre de propriétés à vendre attribuable à la construction de nouvelles habitations.

Résumés des marchés régionaux 

Le marché immobilier d’Halifax a continué à afficher une croissance constante des prix ce trimestre, malgré des ventes unitaires et un nombre de propriétés à vendre relativement inchangés. Ce sont les maisons standards à deux étages qui ont connu la plus forte appréciation parmi tous les types d’habitations examinés, le prix moyen augmentant de 1,9 pour cent comparativement à l’an dernier pour s’établir à 325 933 $. Les appartements en copropriété standards ont également affiché des gains modestes, progressant de 1,4 pour cent à 218 950 $. Le prix des maisons individuelles de plain-pied est demeuré essentiellement inchangé, augmentant de seulement 0,3 pour cent à 295 500 $.

Le marché immobilier de St. John’s a connu des résultats mitigés ce trimestre : le prix des maisons individuelles a poursuivi son ascension, bondissant en glissement annuel de 4,1 pour cent à 302 000 $ et de 4,0 pour cent à 408 333 $, respectivement. Durant la même période, le prix moyen des appartements en copropriété standards a reculé de 3,0 pour cent, pour s’établir à 300 000 $.

À Montréal, les maisons individuelles ont aussi connu des hausses vigoureuses, le prix moyen des maisons standards à deux étages se majorant de 3,6 pour cent sur 12 mois pour atteindre 406 179 $, tandis que le prix des maisons individuelles de plain-pied a grimpé de 3,3 pour cent à 294 557 $. Le prix des appartements en copropriété standards est resté relativement stable, reculant de 0,1 pour cent à 239 561 $.

L’hiver rude a limité l’activité et freiné la croissance des prix dans le marché immobilier d’Ottawa ce trimestre. Par rapport à l’année dernière, le prix moyen des maisons individuelles de plain-pied s’est accru de 2,2 pour cent pour atteindre 395 667 $, et celui des maisons standards à deux étages, de 2,0 pour cent à 398 500 $. Le prix des appartements en copropriété a accusé un léger repli, baissant de 1,4 pour cent au cours de la même période pour s’établir à 258 500 $.

Le prix des propriétés à Toronto a poursuivi son envolée au premier trimestre, le nombre peu élevé d’habitations à vendre et les scénarios d’offres multiples poussant les prix vers le haut dans les quartiers prisés. Tant le prix des maisons individuelles de plain-pied que celui des maisons standards à deux étages ont bondi comparativement à l’année dernière, augmentant de 4,1 pour cent à 589 250 $ et de 6,8 pour cent à 716 698 $, respectivement. Les appartements en copropriété standards ont affiché une hausse plus modeste, de 1,5 pour cent, qui établit le prix moyen à 364 979 $.

Ce trimestre à Winnipeg, la pénurie de propriétés de revente de qualité sur le marché a fait augmenter les prix. Les prix moyens des maisons standards à deux étages et des appartements en copropriété standards ont enregistré une croissance importante, avec une hausse de 5,1 pour cent à 325 072 $ et de 5,3 pour cent à 203 118 $, respectivement. Quant au prix des maisons individuelles de plain-pied, il s’est apprécié modestement en glissement annuel, soit de 1,2 pour cent, pour s’établir à 306 507 $.

L’accroissement du nombre de maisons neuves individuelles à vendre a stabilisé les prix sur le marché immobilier de Regina. Les prix des maisons individuelles de plain-pied et des maisons standards à deux étages sont demeurés relativement stables par rapport à l’année dernière, progressant de 0,2 pour cent à 330 000 $ et de 0,3 pour cent à 379 000 $, respectivement. Le prix des appartements en copropriété standards a crû de façon modérée, soit de 3,6 pour cent, pour atteindre 216 000 $.

La forte demande soutenue, combinée à la pénurie de propriétés à vendre, a contribué à la solide appréciation des prix dans le marché immobilier de Calgary. Le prix moyen d’une maison standard à deux étages a affiché la croissance annuelle la plus marquée, bondissant de 7,5 pour cent, pour atteindre 472 644 $. Durant la même période, le prix moyen d’une maison individuelle de plain-pied s’est hissé de 6,3 pour cent à 480 222 $, et celui d’un appartement en copropriété standard, de 5,3 pour cent à 274 700 $.

La croissance importante du prix de tous les types d’habitations à Edmonton a incité davantage de consommateurs à se tourner vers les appartements en copropriété au premier trimestre. Les appartements en copropriété standards figurent en tête du marché en ce qui concerne les hausses de prix, effectuant une remontée de 6,9 pour cent sur 12 mois pour se chiffrer à 224 250 $. Le prix unitaire moyen d’une maison standard à deux étages a connu une avancée impressionnante de 5,5 pour cent à 371 000 $, alors que celui d’une maison individuelle de plain-pied s’est apprécié de 5,3 pour cent à 341 651 $.

La forte demande soutenue à l’égard des propriétés unifamiliales a poussé les prix vers le haut dans le marché de Vancouver. C’est le prix des maisons individuelles de plain-pied qui a le plus augmenté comparativement à 2013, se gonflant de 4,8 pour cent à 1 062 318 $. Le prix moyen des maisons standards à deux étages s’est majoré de 2,9 pour cent, atteignant 1 148 473 $. La construction continue dans le segment des immeubles en copropriété a fait en sorte que le prix d’un appartement en copropriété standard est demeuré relativement stable à 482 800 $, ce qui représente une hausse de 0,3 pour cent.

L’Étude trimestrielle sur le prix des maisons de Royal LePage montre les changements de prix annuels pour les principales catégories d’habitations dans certains marchés nationaux.  Télécharger la table

Étude sur le prix des maisons Royal LePage du 1ier trimestre 2014 : tableau 

À propos de l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage

L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage est l’analyse immobilière la plus vaste et la plus exhaustive de ce genre au Canada. Elle fournit de l’information sur sept types d’habitations répartis dans plus de 250 villes et quartiers d’un océan à l’autre. Le présent communiqué renvoie quant à lui à une version abrégée de l’Étude mettant en lumière l’évolution des prix des trois types d’habitations les plus courants dans 90 communautés à l’échelle du pays. Il est possible de consulter une base de données complète contenant les données recueillies au cours des sondages en visitant le site Web de Royal LePage, à l’adresse www.royallepage.ca. Les données actuelles seront mises à jour après la compilation complète des données pour le premier trimestre de 2014. Une version imprimable du rapport du premier trimestre de 2014 sera disponible en ligne le 8 mai 2014. Les valeurs des propriétés indiquées dans l’Étude sur les prix des maisons de Royal LePage correspondent à l’évaluation de Royal LePage de la valeur marchande des propriétés de chaque endroit en fonction des données locales et des renseignements sur le marché fournis par les experts du secteur immobilier résidentiel de Royal LePage.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 15 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Brookfield Real Estate Services Inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ».

Pour en savoir davantage, veuillez consulter le site www.royallepage.ca.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : 

Gwen McGuire
Kaiser Lachance Communications
647 725-2520, poste 204
gwen.mcguire@kaiserlachance.com

Tammy Gilmer
Directrice, Communications mondiales et Relations publiques
Services immobiliers Royal LePage
416 510-5783
tgilmer@royallepage.ca

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