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Une étude de Royal LePage effectuée à l’échelle nationale révèle que la majorité des bébé-boumeurs n’ont pas l’intention d’emménager dans une propriété plus petite

Les maisons unifamiliales ont toujours la cote chez les bébé-boumeurs et les membres de la génération Y, selon une étude de Royal LePage

TORONTO, le 26 février 2013 – Bien que l’on soit porté à croire que les bébé-boumeurs vieillissants auraient tendance à emménager dans des propriétés plus petites, entraînant un surplus de maisons unifamiliales traditionnelles sur le marché, une nouvelle étude des Services immobiliers Royal LePage dévoile que la demande pour les maisons individuelles de banlieue demeure élevée chez les bébé-boumeurs et la génération Y.

Le sondage de la firme Léger Marketing indique que des 40,6 pour cent des bébé-boumeurs (nés entre 1947 et 1966) qui songent à déménager dans une autre résidence principale, près de la moitié d’entre eux (43,5 pour cent) désirent acheter une autre résidence principale de la même grandeur ou plus grande que celle qu’ils possèdent actuellement. Parmi les réponses obtenues auprès des bébé-boumeurs qui avaient l’intention d’acheter leur prochaine résidence principale, 66,8 pour cent d’entre eux ont affirmé être prêts à le faire au cours des cinq prochaines années.

« Les bébé-boumeurs sont issus de la génération la plus aisée dans l’histoire canadienne. Ils vivent dans de grandes maisons avec amplement d’espace pour contenir leurs nombreux biens. Ils apprécient avoir un garage et une cour arrière. Cette étude indique clairement que, contrairement à la croyance populaire, la plupart des bébé-boumeurs ne sont pas près d’emménager dans une maison plus petite », affirme Phil Soper, chef de la direction des Services immobiliers Royal LePage.

Chez les bébé-boumeurs qui prévoient déménager, ce sont les hommes plus que les femmes qui sont davantage susceptibles de vouloir une propriété plus grande. En effet, 23,0 pour cent d’entre eux, comparativement à 12,1 pour cent de femmes, indiquent qu’ils songent à emménager dans une résidence plus grande. Des bébé-boumeurs qui songent à acheter un appartement en copropriété, 54,5 pour cent préfèrent une réduction des services et des frais d’entretien plus bas, alors que 39,1 pour cent souhaitent obtenir un grand nombre de services.Soixante-dix-huit pour cent des bébé-boumeurs possèdent actuellement leur propre maison.

Le fait que les adolescents demeurent plus longtemps avec leurs parents est un facteur qui incite les bébé-boumeurs à continuer à investir dans de grandes maisons de banlieue. Selon l’étude, un quart des membres de la génération Y ne paie pas de loyer en raison des arrangements avec des membres de la famille ou des amis, mais ce nombre augmente à 33,4 pour cent dans les provinces des Prairies, à 29,7 pour cent au Québec et à 27,2 pour cent en Ontario.

« Devenus adultes, les enfants des bébé-boumeurs ne sont pas pressés de quitter le nid familial. Comme il est plus difficile pour eux de trouver un bon travail, ils poursuivent leurs études tout en demeurant chez leurs parents. Il n’est donc pas étonnant de constater que changer une maison pouvant accommoder une famille pour une petite habitation n’a plus aucun attrait » poursuit M. Soper.

Par ailleurs, les membres de la génération Y (nés entre 1980 et 1994) qui songent à acheter une prochaine propriété sont plus intéressés à une maison unifamiliale à plusieurs étages (50,6 pour cent) ou à une maison de plain-pied (19,0 pour cent). Seulement 15,7 pour cent des personnes de la génération Y affirment songer à acheter un appartement en copropriété ou un appartement. Alors que chez les bébé-boumeurs, c’est 22,9 pour cent des acheteurs potentiels qui souhaitent acheter un appartement en copropriété ou un appartement.

L’étude montre que plus de la moitié des personnes de la génération Y ont l’intention d’acheter leur prochaine propriété en banlieue (55,7 pour cent), comparativement à une propriété située en plein cœur du centre-ville (21,7 pour cent). Quarante-trois pour cent des personnes, qui ne sont pas propriétaires de maison en ce moment, mais qui planifient en acquérir une au cours des cinq prochaines années, affirment vouloir fonder une famille prochainement. Parmi ce groupe de personnes plus jeunes qui songent à acheter une maison, les points qui comptent le plus dans le choix d’une nouvelle maison sont : un quartier sécuritaire et la proximité du lieu de travail, de la famille et des amis. En tenant compte du fait que près de la moitié des personnes de la génération Y ont indiqué être motivées à acheter une maison, car elles planifient à court terme d’avoir des enfants (42,0 pour cent), les facteurs les moins importants sont la proximité du centre-ville, des restaurants et des lieux de divertissement.

« Les jeunes gens de la génération Y sont les acheteurs d’une première maison. Comme leurs parents, ils rêvent de posséder une belle maison de banlieue, qui offre une bonne valeur ainsi qu’un accès aux parcs pour les enfants et une sensation de sécurité pour la famille, déclare M. Soper. Même si les appartements en copropriété sont de plus en plus populaires au Canada, les résultats de l’étude ne révèlent pas pour autant de baisse de la demande pour des maisons unifamiliales traditionnelles. Pour les bébé-boumeurs qui déménagent au centre-ville, il y a une nouvelle génération qui est prête à prendre leur place. »

Parmi les raisons qui motivent le plus les bébé-boumeurs à emménager dans une propriété plus petite, il faut mentionner un entretien moins exigeant (73,7 pour cent), l’accès aux liquidités pour la retraite (48,1 pour cent) et pour les voyages (30,9 pour cent).

Comparaisons régionales relatives aux personnes qui songent à déménager

Pour la génération Y, les comparaisons régionales ont démontré qu’un plus grand nombre d’Ontariens et d’Albertains accordent de l’importance à la proximité du centre-ville que les Québécois ou les habitants des provinces des Prairies. De même, une salle d’exercices ou un centre de conditionnement physique est plus important pour les Ontariens, les Albertains et les habitants de Colombie-Britannique que pour les Québécois ou les Canadiens de l’Atlantique. Ces derniers attribuent également moins d’importance à la proximité du transport collectif, des restaurants ou des lieux de divertissement que les personnes de la génération Y vivant ailleurs au pays.

Les comparaisons effectuées entre les bébé-boumeurs partout au Canada révèlent que les Ontariens, les Québécois et les Albertains sont ceux qui sont les plus susceptibles d’acheter une résidence à la campagne, par rapport à ceux qui habitent en Colombie-Britannique, car un plus grand nombre d’entre eux attribuent de l’importance à la proximité du transport collectif lorsqu’ils achètent une propriété, comparativement aux Ontariens et aux Albertains. De plus, il n’existe pas de différences régionales significatives entre les bébé-boumeurs qui souhaitent acheter une propriété plus grande ou une propriété plus petite ou encore continuer à vivre dans une résidence de même grandeur.

 

Étude de Royal LePage portant sur les bébé-boumeurs et la génération Y 

Résultats de l’étude à l’égard des répondants qui songent à acheter une nouvelle résidence principale 

Bébé-boumeurs (de 1947 à 1966)

Génération Y (de 1980 à 1994)

Si je déménage, je songe à…

Acheter une propriété plus grande

17,6 %

63,2 %

Acheter une propriété de la même grandeur

25,9 %

20,9 %

Acheter une propriété plus petite

54,0 %

12,9 %

Ne sais pas/ préfère ne pas répondre

0,7 %

2,2 %

Quel type de propriété choisiriez-vous pour votre prochaine résidence principale?
Habitations multifamiliales

Appartement en copropriété/appartement

22,9 %

15,8 %

Maisons unifamiliales

Maison en rangée

6,8 %

7,3 %

Maison de plain-pied

39,0 %

19,0 %

Maison unifamiliale à plusieurs étages

18,8 %

50,6 %

Sous-total

64,5 %

76,8 %

Autre

Propriété récréative

5,9 %

1,7 %

Autre

3,0 %

2,8 %

Ne sais pas/ préfère ne pas répondre

3,3 %

2,9 %

Dans le choix de votre prochaine résidence principale, quels éléments/services vous importent le plus? 

Sécurité du quartier ou de la région

61,9 %

63,2 %

Cour arrière ou balcon

69,6 %

66,3 %

Style de la propriété

63,5 %

60,9 %

Garage ou entrée

67,8 %

57,7 %

Superficie de la propriété

50,2 %

49,9 %

Maison écologique/à haut rendement énergétique

27,2 %

20,2 %

Piscine

12,7 %

8,9 %

Proximité du lieu de travail

16,7 %

47,1 %

Proximité du transport collectif

29,0 %

31,2 %

Proximité de la famille et des amis

23,3 %

34,3 %

Proximité du centre-ville/noyau urbain

26,3 %

24,3 %

Proximité des restaurants/lieux de divertissement

22,8 %

19,8 %

Proximité des écoles ou des garderies

6,8 %

29,9 %

Comprend une salle d’exercices ou un centre de conditionnement physique

7,0 %

7,9 %

Méthodologie

Le sondage a été réalisé en ligne entre le 13 et le 21 septembre 2012 par un panel en ligne de Léger Marketing, LegerWeb, avec un échantillon de 1013 Canadiens nés entre les années 1980 et 1994 (génération Y) et de 1011 Canadiens nés entre les années 1947 et 1966 (boumeurs). Un échantillon aléatoire de même taille donnerait une marge d’erreur de ± 3,08%, 19 fois sur 20, pour chaque échantillon respectif.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Teresa Cugliari
Fleishman-Hillard Canada
Numéro direct : 416 645-8201
teresa.cugliari@fleishman.ca

Tammy Gilmer
Directrice, Communications mondiales et Relations publiques
Services immobiliers Royal LePage
416 510-5783