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Étude Royal LePage : 3,2 millions de baby-boomers au Canada considèrent acheter une maison au cours des cinq prochaines années

Points saillants de l’enquête :

  • Plus du tiers des baby-boomers propriétaires (40 %) détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier
  • Plus de la moitié des baby-boomers propriétaires (52 %) préféreraient rénover leur propriété actuelle plutôt que de déménager
  • Moins d’un quart des baby-boomers propriétaires (17 %) possèdent actuellement plus d’une propriété
  • 64 % des baby-boomers propriétaires sont libres d’hypothèque
  • 25 % des baby-boomers disent qu’ils ont déjà aidé ou aideraient financièrement leur enfant à acheter une maison
  • Des résultats par province et par ville (Montréal, Toronto et Vancouver) sont inclus dans ce communiqué et dans le tableau 

Royal LePage Boomer ReleaseTORONTO, le 30 juin 2021 – Selon une récente enquête de Royal LePage[1] menée auprès des baby-boomers au Canada, une tranche démographique définie par Statistique Canada comme étant née entre 1946 et 1965, 35 % de la cohorte, soit environ 3,2 millions de personnes,[2] ont déclaré qu’ils considèrent acheter une maison au cours des cinq prochaines années. À l’échelle nationale, 45 % des répondants estiment que le moment est venu de vendre leur maison.

« La génération des baby-boomers vit pleinement et n’a aucunement l’intention de mettre la pédale douce, a déclaré Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Dûment vacciné, et faisant fi de la retraite, le membre typique de cette large tranche démographique profite du fait que ses enfants ont quitté le nid et croit que l’immobilier constitue un bon investissement. On s’attend à ce que des millions de baby-boomers entrent sur le marché au cours des cinq prochaines années. »

Demande de logements par les baby-boomers

Il n’existe aucune solution universelle pour les baby-boomers canadiens qui prennent leur retraite, surtout lorsqu’il s’agit de décider où ils souhaitent vivre. Plus de la moitié (57 %) des répondants ont dit qu’ils choisiraient une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 19 % ont dit qu’ils préféreraient un appartement en copropriété. Un peu plus de la moitié (52 %) des baby-boomers propriétaires ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, et une autre tranche de 24 % ont dit qu’ils étudieraient la question.

Parmi les 35 % de baby-boomers qui considèrent acquérir une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 56 % disent qu’ils envisageraient de s’installer dans une région rurale ou récréative. Vingt-huit pour cent précisent qu’ils envisageraient d’acheter une maison plus grande que celle qu’ils habitent actuellement, 56 % considéreraient une propriété de taille similaire et 63 % une propriété plus petite. Notons que les répondants pouvaient choisir plus d’une réponse. La diminution des besoins d’entretien de la propriété figurait comme la raison la plus populaire, citée par 71 % des répondants comme facteur motivant la réduction de la taille de leur propriété. D’autres raisons expliquant le désir de déménager dans une propriété plus petite comprenaient la possibilité de dégager des fonds pour partir à la retraite (39 %), voyager (29 %) et aider leurs enfants à acheter une maison (9 %).

« En repensant aux années d’insouciance d’avant les enfants, la plupart des baby-boomers sont à la recherche d’une maison qui nécessite moins d’entretien », poursuit M. Soper. « Paradoxalement, ils aspirent aussi à la vie de campagne et ne souhaitent pas sacrifier la superficie habitable. Soyez à l’affût de la croissance continue des collectivités gérées dans les régions périurbaines et récréatives. »

Les baby-boomers actifs sur le marché du travail estiment leur région comme étant inabordable (65 %) et 42 % ont mentionné qu’ils réfléchiraient à un déménagement dans une autre ville, à l’approche ou au cours de la retraite.

Depuis le début de la pandémie de la COVID-19, plus de 550 000 baby-boomers canadiens (6 %) ont vendu leur maison ou sont sur le point de le faire, et plus de 90 % ont déclaré que la crise sanitaire mondiale n’a ni retardé ni accéléré leurs plans de déménagement. 

Accession à la propriété et patrimoine personnel

Soixante-quinze pour cent des baby-boomers sont propriétaires de leur maison, la majorité de ce groupe étant libre d’hypothèque à l’heure actuelle (64 %). Dix-sept pour cent des baby-boomers propriétaires possèdent actuellement plus d’une propriété, et 40 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier.

« La génération des baby-boomers accorde une grande importance à l’accession à la propriété, et ce, pour une bonne raison. L’immobilier a été très, très profitable pour elle, a déclaré M. Soper. La plupart des membres de ce groupe travaillent encore et la valeur nette de leur logement est devenue le socle de la sécurité de leur retraite. La prochaine étape que ces baby-boomers, confiants sur le plan financier, ont à franchir est une question de mode de vie. »

À l’échelle du Canada, ce sont 78 % des baby-boomers qui estiment que le fait d’être propriétaire représente un bon investissement. 

Les baby-boomers gardent ouverte la « banque parentale »

Alors que le prix des maisons poursuit son ascension partout au pays, de nombreux jeunes adultes se tournent vers leurs parents baby-boomers pour obtenir un coup de pouce pour verser une mise de fonds pour une propriété. Vingt-cinq pour cent des baby-boomers canadiens font savoir qu’ils ont songé à donner ou prêter de l’argent à leurs enfants pour les aider à acheter une maison, ou qu’ils sont déjà passés à l’action. À Vancouver, cette proportion atteint 34 %.

« Au cours de la dernière année, la valeur des maisons a fortement gagné en appréciation dans presque tous les marchés d’un océan à l’autre. L’accessibilité est un enjeu majeur pour les jeunes Canadiens et, étant donné les mesures plus rigoureuses en matière de simulation de crise relative au prêt hypothécaire, ils doivent surmonter des obstacles plus élevés », a ajouté le chef de la direction de Royal LePage. « Bon nombre se tournent vers ce qu’on appelle communément la “banque parentale” pour réaliser le rêve de l’accession à la propriété. La banque parentale semble ouverte, même si cela signifie retarder le moment du départ à la retraite. »

Un récent sondage mené par Royal LePage en collaboration avec Sagen auprès des acheteurs d’une première maison au Canada a révélé que 62 % des répondants à l’échelle nationale s’inquiétaient à l’idée de passer à côté d’une propriété qu’ils voulaient en raison d’une mise de fonds insuffisante, avant d’acheter leur première maison. Ce chiffre grimpe à 75 % à Toronto, à 69 % à Vancouver et à 63 % à Montréal.

À l’échelle nationale, 79 % des baby-boomers n’ont pas d’enfants à la maison. Cela inclut ceux qui ne sont pas parents. Un peu moins d’un quart (17 %) des baby-boomers canadiens ont des enfants adultes qui vivent à la maison. Concernant les enfants qui vivent à la maison, seulement 7 % des répondants ont rapporté avoir des enfants de 18 à 24 ans, et 12 % des enfants de plus de 25 ans.

Parmi ceux qui ont des enfants à la maison, 43 % ont l’intention de rester dans leur propriété actuelle une fois que leurs enfants seront partis. Entretemps, 21 % ont dit qu’ils n’entrevoyaient pas le départ de leurs enfants.

D’ici la fin de la décennie, tous les baby-boomers auront 65 ans ou plus, ce qui coïncide habituellement avec l’âge du départ à la retraite au Canada. Environ un quart (27 %) des baby-boomers qui travaillent actuellement ont dit qu’ils songeraient à retarder le moment de leur départ à la retraite afin d’aider leurs enfants à verser une mise de fonds pour une maison.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021

Observations régionales 

Canada atlantique

Vingt-neuf pour cent des baby-boomers du Canada atlantique considèrent acheter une maison dans les cinq prochaines années. Plus des trois quarts (78 %) des baby-boomers des Maritimes sont propriétaires de leur maison, dont la majorité sont libres d’hypothèque à l’heure actuelle (72 %), un taux parmi les plus élevés au pays.

« L’accessibilité à l’immobilier au Canada atlantique permet aux propriétaires de rembourser leurs prêts plus rapidement et de partir à la retraite libres d’hypothèque », a souligné Glenn Larkin, courtier immobilier à l’agence Royal LePage Vision Realty, à St. John’s (Terre-Neuve).

Dans cette région, 16 % des baby-boomers propriétaires d’une maison possèdent actuellement plus d’une propriété, et 21 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier. Ce sont 78 % des baby-boomers de la province qui estiment que la propriété représente un bon investissement. Plus des deux tiers (67 %) des répondants ont dit que s’ils achetaient une propriété, ils choisiraient une maison détachée, tandis que 11 % ont dit qu’ils opteraient plutôt pour un appartement en copropriété.

« Bien que les prix des maisons soient plus abordables dans les Maritimes, certains premiers acheteurs trouvent que les conditions actuelles du marché sont difficiles, car les prix ont augmenté pour atteindre des taux records, en partie sous l’effet d’une vague d’acheteurs venus de l’extérieur de la province au cours de la dernière année », a poursuivi M. Larkin. « De nombreux parents qui en ont la possibilité aident leurs enfants à verser une mise de fonds. Souvent, ils utilisent une partie des profits tirés de la vente de leur maison familiale. »

Dans la région, 19 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à acheter une maison, soit le taux le plus faible de tous ceux des régions sondées au pays.

Près de la moitié (49 %) des baby-boomers propriétaires dans la région du Canada atlantique ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, et une autre tranche de 26 % ont dit qu’ils en étudieraient l’idée.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021

Québec

Environ un quart (29 %) des baby-boomers du Québec considèrent acheter une maison dans les cinq prochaines années; un taux parmi les plus bas au Canada. C’est à Montréal que les baby-boomers affichent le plus faible taux de propriété, soit 62 %. Ce chiffre passe à 67 % dans la province, dont la majorité est libre d’hypothèque à l’heure actuelle (57 %). Au Québec, 16 % des baby-boomers propriétaires d’une maison possèdent actuellement plus d’une propriété, et 34 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier.

Plus de la moitié (53 %) des répondants ont dit qu’ils choisiraient une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 20 % ont dit qu’ils choisiraient plutôt un appartement en copropriété.

Parmi les 29 % de baby-boomers du Québec qui considèrent faire l’acquisition d’une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 62 % disent qu’ils étudieraient la possibilité de s’installer dans une région rurale ou récréative. Un autre 32 % précisent qu’ils réfléchiraient à l’idée d’acheter une maison plus grande que celle qu’ils habitent actuellement, 53 % envisageraient une propriété de taille similaire et 59 % une propriété plus petite (55 % à Montréal). Notons que les répondants pouvaient choisir plus d’une réponse. La diminution des besoins d’entretien de la propriété figurait comme la raison la plus populaire, citée par 72 % des répondants comme facteur motivant la réduction de la taille de leur propriété. D’autres réponses populaires expliquant le désir de déménager dans une propriété plus petite comprenaient la possibilité de dégager des fonds pour partir à la retraite (36 %), voyager (21 %) et aider leurs enfants à acheter une maison (13 %). Les répondants de Montréal qui caressent le projet de réduire la taille de leur logement apprécient également la possibilité de dégager des fonds en vue de partir à la retraite (41 %), de voyager (21 %) et d’aider leurs enfants à acheter une maison (15 %).

« Alors que nous nous attendions à ce que cette génération déménage en masse dans des copropriétés, la proportion de baby-boomers propriétaires québécois qui aspirent à déménager dans des propriétés de taille supérieure à leur résidence actuelle est parmi les plus importantes au Canada », a dit Georges Gaucher, directeur d’agence, Royal LePage Village à Montréal. « Même si la hausse des prix n’a pas épargné la Belle Province, il demeure que le marché y est nettement plus abordable qu’ailleurs au pays. »

Au Québec, 24 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à acheter une maison.

Près des deux tiers (62 %) des baby-boomers propriétaires au Québec ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, parmi les taux les plus élevés des régions sondées au pays. De plus, 21 % ont dit qu’ils envisageraient de le faire.

« Nous nous attendons à ce qu’à mesure que les restrictions de santé publique liées à la COVID-19 continuent d’être levées et que la campagne de vaccination continue de progresser, certains baby-boomers québécois mettront leur maison sur le marché, ce qui améliorera l’inventaire de propriétés pour les acheteurs potentiels », a ajouté M. Gaucher. « Cela dit, bien que la variété d’inscriptions en sera bonifiée, il est à prévoir que les membres de cette génération qui vendent souhaiteront aussi acheter. Cela ajoutera une compétition additionnelle sur le marché. »

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, y compris la région de Montréal, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021

Ontario

Environ un tiers (37 %) des baby-boomers de l’Ontario, un taux légèrement supérieur à la moyenne nationale, considèrent acheter une maison au cours des cinq prochaines années (41 % à Toronto). Soixante-seize pour cent des baby-boomers de la province sont propriétaires de leur maison, la majorité de ce groupe étant libre d’hypothèque à l’heure actuelle (64 %, et 60 % à Toronto). Dans cette région, 16 % des baby-boomers propriétaires d’une maison possèdent actuellement plus d’une propriété, et 46 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier. À Toronto, ce chiffre atteint 54 %, le taux le plus élevé de toutes les régions métropolitaines de recensement sondées.

« La pandémie a eu un effet durable sur de nombreux jeunes baby-boomers qui essaient d’en obtenir davantage de leur domicile après une année caractérisée par les restrictions sanitaires liées à la COVID-19. Bon nombre d’entre eux souhaitent plus d’espace pour recevoir, garder leurs petits-enfants ou continuer de travailler à distance. Tous les baby-boomers n’ont pas le luxe de s’offrir un espace plus grand, mais le désir est là », a déclaré Cailey Heaps, qui dirige l’équipe Heaps Estrin de l’agence Royal LePage Real Estate Services, à Toronto.

Plus de la moitié (59 %) des répondants ont dit qu’ils choisiraient une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 19 % ont dit qu’ils préféreraient un appartement en copropriété.

Parmi les 37 % de baby-boomers ontariens qui considèrent acheter une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 56 % disent qu’ils envisageraient de s’installer dans une région rurale ou récréative. Vingt-cinq pour cent précisent qu’ils envisageraient d’acheter une maison plus grande que celle qu’ils habitent actuellement (26 % à Toronto), 54 % considéreraient une propriété de taille semblable (57 % à Toronto) et 66 % une propriété plus petite (59 % à Toronto). Notons que les répondants pouvaient choisir plus d’une réponse. La diminution des besoins d’entretien de la propriété figurait comme la raison la plus populaire, citée par 73 % des répondants comme facteur motivant la réduction de la taille de leur propriété. D’autres réponses populaires expliquant le désir de déménager dans une propriété plus petite comprenaient la possibilité de dégager des fonds pour partir à la retraite (38 %), voyager (35 %) et aider leurs enfants à faire l’acquisition d’une maison (11 %). Les répondants de Toronto qui considèrent réduire la taille de leur logement apprécient également la possibilité de dégager des fonds en vue de la retraite (49 %), de voyager (42 %) et d’aider leurs enfants à acheter une maison (16 %).

En Ontario, 24 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à acheter une maison (29 % à Toronto).

« Les baby-boomers qui possèdent une propriété en Ontario ont vu leurs fonds propres augmenter tout en créant des souvenirs dans leur maison familiale. Ils veulent que leurs enfants vivent la même expérience et ressentent un sentiment d’urgence, car les prix deviennent de moins en moins accessibles, pour les aider à accéder à la propriété », a expliqué Mme Heaps. « Bien que la concurrence soit forte dans toute la province, Toronto demeure un marché particulièrement difficile à pénétrer en raison des prix élevés. Pour certains acheteurs plus jeunes, l’aide des parents déterminera s’ils peuvent même acheter quoi que ce soit. »

Un peu plus de la moitié (52 %) des baby-boomers propriétaires en Ontario ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, et une autre tranche de 23 % ont dit qu’ils considéreraient l’idée.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, y compris la région de Toronto, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021

Prairies (Saskatchewan et Manitoba)

Environ un tiers (32 %) des baby-boomers de la région des Prairies envisagent d’acheter une maison au cours des cinq prochaines années. Le taux de propriété chez les baby-boomers est plus élevé que la moyenne nationale : 78 % des baby-boomers des Prairies possèdent leur propre maison, dont la majorité est libre d’hypothèque à l’heure actuelle (66 %). Dans cette région, 21 % des baby-boomers propriétaires d’une maison possèdent actuellement plus d’une propriété, et 35 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier.

« J’ai vu de nombreux cas où les baby-boomers ont déménagé dans leur propriété secondaire au bord du lac une fois la retraite venue, mais ils ne vendent pas toujours leur résidence principale », a expliqué Norm Fisher, courtier et propriétaire à l’agence Royal LePage Vidorra, à Saskatoon, en Saskatchewan. « Le prix des maisons est plus abordable en Saskatchewan, de sorte que les propriétaires établis peuvent se permettre de conserver les deux. »

Plus de la moitié (57 %) des répondants ont dit qu’ils choisiraient une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 26 % ont dit qu’ils préféreraient un appartement en copropriété.

« La plupart des baby-boomers ne brûlent pas d’envie d’emménager dans un espace beaucoup plus petit, mais ils veulent une maison qui nécessite moins d’entretien et qui ne sera pas un fardeau pour leur famille ou leurs amis s’ils choisissent de passer plusieurs mois à l’étranger en hiver », a fait savoir Chris Pennycook, courtier immobilier à Royal LePage Dynamic Real Estate, une agence de Winnipeg, au Manitoba.

Dans les Prairies, 24 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à faire l’acquisition d’une maison.

« Je travaille dans l’immobilier depuis 35 ans. Le fait que les jeunes obtiennent une aide financière pour pouvoir acheter leur première maison n’est pas une tendance nouvelle, mais je ne me souviens pas d’un temps où les parents, et dans certains cas les grands-parents, aidaient autant », a ajouté M. Pennycook.

Plus d’un tiers (41 %) des baby-boomers propriétaires aux Prairies ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, soit le taux le plus faible de toutes les régions sondées. Un autre 31 % ont dit qu’ils se pencheraient sur la question.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021

Alberta

Une proportion 41 % des baby-boomers de l’Alberta envisagent d’acheter une maison au cours des cinq prochaines années. L’Alberta affiche l’un des taux de propriété le plus élevé chez les baby-boomers au pays, soit 84 %, dont la majorité est libre d’hypothèque à l’heure actuelle (67 %). Trente-six pour cent détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans l’immobilier. Ce sont 24 % des baby-boomers propriétaires d’une maison dans la province qui possèdent plus d’une propriété.

« Posséder une deuxième propriété est courant en Alberta, soit comme propriété récréative, soit comme investissement. L’immobilier est très abordable et présente une grande valeur. Vous pouvez acheter un appartement en copropriété au centre-ville d’Edmonton pour moins de 130 000 $ et le louer à des étudiants », a fait remarquer Tom Shearer, courtier et propriétaire de l’agence Royal LePage Noralta Real Estate, à Edmonton.

Plus de la moitié (58 %) des répondants ont dit qu’ils choisiraient une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 13 % ont dit qu’ils préféreraient un appartement en copropriété.

« Les baby-boomers de Calgary appartiennent habituellement à l’une de deux écoles de pensée : soit ils tiennent à vieillir chez eux s’ils en ont la possibilité, soit ils souhaitent opter pour une propriété plus petite, par exemple une maison de plain-pied, ou se joindre à une communauté de propriétaires de maisons de style villa », a expliqué Corinne Lyall, courtière et propriétaire de Royal LePage Benchmark, une agence de Calgary. « Ce choix de propriété plus petite ne signifie pas nécessairement une copropriété. La plupart des gens préfèrent avoir une maison plus petite nécessitant moins d’entretien. »

Parmi les 41 % de baby-boomers de l’Alberta qui font savoir qu’ils considèrent acheter une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 55 % disent qu’ils examineraient l’idée de s’installer dans une région rurale ou récréative. Dix-sept pour cent précisent qu’ils étudieraient l’idée d’acheter une maison plus grande que celle qu’ils habitent actuellement, 58 % envisageraient une propriété de taille similaire et 66 % une propriété plus petite. Notons que les répondants pouvaient choisir plus d’une réponse. La diminution des besoins d’entretien de la propriété figurait comme la raison la plus populaire, citée par 70 % des répondants comme facteur motivant la réduction de la taille de leur propriété. D’autres réponses populaires expliquant le désir de déménager dans une propriété plus petite comprenaient la possibilité de dégager des fonds pour partir à la retraite (36 %), voyager (28 %) et aider leurs enfants à acheter une maison (6 %).

En Alberta, 29 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à acquérir une maison.

« De nombreux baby-boomers ont constitué un patrimoine important grâce à l’immobilier. Il est courant de voir des parents faire un don de fonds à leurs enfants adultes pour les aider à acheter leur propre maison à proximité. Cela leur permet de se soutenir les uns les autres; nous voyons en effet souvent des grands-parents donner un coup de pouce à leurs petits-enfants », a ajouté M. Shearer.

Près de la moitié (49 %) des baby-boomers propriétaires en Alberta ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acquérir une autre, et une autre tranche de 24 % ont dit qu’ils le considéreraient.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021 

Colombie-Britannique

Trente-neuf pour cent des baby-boomers de la Colombie-Britannique considèrent acheter une maison au cours des cinq prochaines années.

« Les baby-boomers constituent la génération la plus nantie de toute l’histoire du Canada. Ils sont très instruits et apprécient le capital qu’ils ont accumulé grâce à leur maison », a indiqué Caroline Baile, professionnelle en immobilier à l’agence Royal LePage Sussex, à North Vancouver. « Bien qu’un grand nombre d’entre eux n’aient pas ressenti le besoin immédiat de déménager en raison d’exigences d’espace supplémentaires, de nombreux baby-boomers réfléchiront à deux fois à l’avenir à mesure que les restrictions en matière de sécurité sont levées et que le déploiement du vaccin bat son plein. »

Plus des trois quarts (79 %) des baby-boomers de la province sont propriétaires de leur maison (73 % à Vancouver), la majorité de ce groupe étant libre d’hypothèque à l’heure actuelle (66 %, et 64 % à Vancouver). En Colombie-Britannique, 18 % des baby-boomers propriétaires d’une maison possèdent actuellement plus d’une propriété, et 48 % détiennent au moins 50 % de leur patrimoine net dans le secteur immobilier; parmi les taux les plus élevés des régions sondées au Canada.

Plus de la moitié (54 %) des répondants ont dit qu’ils feraient l’acquisition d’une maison détachée s’ils achetaient, tandis que 19 % ont dit qu’ils préféreraient un appartement en copropriété.

« La tendance que nous observons au sein de ce groupe est le recalibrage plutôt que la réduction de la taille. Ces personnes peuvent choisir une maison un peu plus petite, mais elles tiennent quand même à profiter d’un espace extérieur et de la place pour recevoir », a poursuivi Mme Baile. « Les maisons en rangée sont très populaires aujourd’hui parmi les jeunes baby-boomers, qui ne sont pas tout à fait prêts pour un appartement en copropriété, mais qui apprécient la liberté qu’offre une propriété nécessitant un entretien moindre. »

Parmi les 39 % de baby-boomers de la Colombie-Britannique qui font savoir qu’ils considèrent acheter une résidence principale au cours des cinq prochaines années, 50 % disent qu’ils se penchent sur l’idée de s’installer dans une région rurale ou récréative. Trente-six pour cent précisent qu’ils envisageraient d’acheter une maison plus grande que celle qu’ils habitent actuellement, 64 % envisageraient une propriété de taille similaire et 59 % une propriété plus petite. Notons que les répondants pouvaient choisir plus d’une réponse. La diminution des besoins d’entretien de la propriété figurait comme la réponse la plus populaire, citée par 55 % des répondants comme facteur motivant la réduction de la taille de leur propriété. D’autres réponses populaires expliquant le désir de déménager dans une propriété plus petite comprenaient la possibilité de dégager des fonds pour partir à la retraite (45 %), voyager (30 %) et aider leurs enfants à acheter une maison (9 %).

En Colombie-Britannique, 31 % des répondants sont susceptibles d’aider financièrement leurs enfants à acquérir une résidence. Ce chiffre passe à 34 % à Vancouver.

Près de la moitié (45 %) des baby-boomers propriétaires en Colombie-Britannique ont signalé qu’ils préféreraient rénover leur maison existante plutôt que d’en acheter une autre, et une autre tranche de 27 % ont dit qu’ils examineraient la question.

Pour consulter toutes les réponses à l’échelle régionale et nationale, y compris la région de Vancouver, cliquez ici : rlp.ca/tableau_sondageboomers2021 

Actifs médias de Royal LePage

La salle des médias de Royal LePage contient de nombreuses images libres de droits, de même que des vidéos de bobine B, à titre gracieux.

À propos du sondage

Un sondage en ligne auprès de 2000 baby-boomers Canadiens complété par Léger entre le 9 juin 2021 et le 14 juin 2021, par l’entremise du panel en ligne de Léger. Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel web dans le cas présent). Mais aux fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 2000 répondants aurait une marge d’erreur de ±2,2 %, 19 fois sur 20.

L’aggrégateur de sondages 338Canada.com a donné à Léger le plus haut score à travers toutes les firmes de sondage au Canada pour l’exactitude de ses recherches.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans plus de 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants et appuie les programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Brookfield Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX : BRE ».

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez : www.royallepage.ca.

Contact média:

Chloé Bitton
North Strategic pour le compte de Royal LePage
chloe.bitton@northstrategic.com
438-497-5728


[1]1 Un sondage en ligne effectué auprès de 2000 baby-boomers canadiens a été réalisé entre le 9 juin 2021 et le 14 juin 2021, à l’aide du panel en ligne de Léger. Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel Web dans ce cas). Cependant, aux fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 2000 répondants aurait une marge d’erreur de ± 2,2 %, 19 fois sur 20.

[2]Le calcul de la population des baby-boomers s’appuie sur les estimations démographiques au 1er juillet de Statistique Canada, par âge et sexe. Les meilleurs résultats de la recherche disponibles concernaient les personnes âgées de 55 à 74 ans en 2020. https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/tv.action?pid=1710000501&request_locale=fr