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Propriétés récréatives: La puissance du signal cellulaire et la vitesse de la connexion à l’Internet sont les facteurs les plus importants le plus souvent pris pour acquis par les premiers acheteurs au Canada

TORONTO, le 22 juin 2021 – Les marchés de l’immobilier récréatif ont connu un pic d’activité important depuis le début de la pandémie de COVID-19 dans l’ensemble du Canada. Les restrictions générales en matière de voyages imposées aux Canadiens les ont forcés à repenser leurs plans de vacances, et bon nombre d’entre eux se sont mis à la recherche d’une propriété récréative. L’an dernier, cet engouement a contribué à une hausse de 16 % du prix de l’agrégat des propriétés situées dans les régions récréatives du pays d’une année sur l’autre, tandis que la demande continue d’outrepasser l’offre. Royal LePage prévoit que l’appréciation des prix dans ce secteur suivra le même rythme cette année, augmentant de 15 % d’une année sur l’autre au Canada[1]. Notons par contre que la quête du chalet parfait s’accompagne de critères différents de ceux d’une résidence principale.

Selon un sondage réalisé auprès de plus de 275 experts en immobilier récréatif de Royal LePage partout au pays, les facteurs les plus importants à considérer lors de l’achat d’une propriété récréative, mais que les acheteurs ont tendance à oublier ou à tenir pour acquis, sont la puissance du signal cellulaire et la vitesse de la connexion à l’Internet. Le tiers (33 %) des répondants ont déclaré que la vérification de la qualité de la réception cellulaire et de la connexion Internet, tant dans le chalet qu’autour de la propriété, est la principale considération que les nouveaux acheteurs de propriétés récréatives sont susceptibles d’omettre de leur liste.

« Comme la pandémie de COVID-19 a stimulé la demande pour des propriétés dans les régions récréatives et offert de nouvelles possibilités en matière de télétravail, l’accès à Internet haute vitesse est devenu encore plus important qu’avant lors de l’achat d’une résidence secondaire », souligne Anne Léger, courtier immobilier chez Royal LePage Humania, dans les Laurentides. « En outre, les nouveaux acheteurs dans ce segment, surtout ceux venant d’une zone urbaine, en savent souvent peu sur l’entretien qu’exige une propriété récréative, plus particulièrement en ce qui concerne les installations septiques. Le type et la conformité du système, de même que son âge, peuvent avoir des répercussions sur les dépenses futures. Très peu de nouveaux acheteurs savent que la taille du système dicte le nombre de chambres à coucher que la propriété devrait avoir pour être conforme aux règles municipales. »

Elle ajoute que les propriétés riveraines posent leurs propres défis.

« La façon dont l’accès à l’eau est défini, qu’il soit partagé ou privé, et s’il est régi par une servitude de droit de passage, sont des points importants. Il est essentiel de collaborer avec un professionnel de l’immobilier spécialisé dans ce type de propriété et qui connaît la région. Nous accompagnons les acheteurs tous les jours et les sensibilisons à ces facteurs. »

Le fait que de posséder un chalet au bord d’un plan d’eau ne signifie pas nécessairement être propriétaire de la zone riveraine arrive en seconde place des points à considérer pour les acheteurs. Enfin, le troisième point le plus important à connaître est la source d’approvisionnement en eau utilisée dans la région. Votre eau proviendra-t-elle d’un puits ou du lac? Non seulement cette question peut-elle avoir des conséquences sur la qualité et l’accessibilité de cette ressource, mais elle peut également avoir des répercussions financières, certains systèmes nécessitant un contrôle saisonnier de la température ou encore des dispositifs de traitement sophistiqués afin d’éliminer toute bactérie présente dans l’eau.

« Il y a vraiment de nombreux points à prendre en compte lorsque l’on magasine une propriété récréative. La plupart des gens achètent un chalet parce qu’ils veulent un endroit où ils pourront échapper au rythme effréné de leur quotidien, une oasis paisible et sereine », remarque Pauline Aunger, courtier immobilier chez Royal LePage Advantage Real Estate, à Smiths Falls en Ontario. « Bien que l’intimité soit importante, assurez-vous de ne pas vous retrouver dans un lieu si isolé que vous ne pourrez pas appeler des secours en cas d’urgence. Aujourd’hui plus que jamais, l’accès à Internet est d’une importance capitale, que ce soit pour le télétravail, pour rester en contact avec la famille et les amis, ou pour visionner les dernières séries sur Netflix. »

Selon les experts de Royal LePage, un autre facteur important à prendre en compte lors de l’achat d’une propriété récréative est la compréhension des règlements locaux concernant la location de votre chalet à d’autres personnes. Certains secteurs interdisent la location à court terme, telle que proposée par certains sites comme Airbnb.

« En ville ou en banlieue, nous n’avons pas à songer à comment entretenir notre propriété en hiver ou à nous interroger sur la qualité de l’eau qui sort du robinet. Quand il est question de propriétés récréatives, ces facteurs peuvent faire un monde de différence, poursuit Mme Aunger. Votre courtier immobilier peut vous aider à gérer toutes les considérations importantes auxquelles vous n’avez peut-être pas songé. »

Quarante pour cent des experts interrogés en Ontario croient que le meilleur moment de l’année pour acheter une propriété récréative est le printemps, tandis que 29 % disent l’automne. Leurs homologues québécois partagent généralement leur avis, 41 % d’entre eux favorisant le printemps pour l’achat d’une propriété dans ce segment, tandis que près de la moitié de répondants est divisée entre l’été et l’automne (25 % et 23 % respectivement). À l’autre bout du pays, les experts de la Colombie-Britannique estiment qu’il n’y a pas de mauvaise saison pour acheter une en propriété récréative (31 % suggèrent le printemps, 26 % l’été, 23 % l’automne et 21 % l’hiver). Ailleurs au Canada, le printemps est largement considéré comme la saison à privilégier (25 % des répondants en Alberta, 54 % dans les Prairies et 35 % dans les provinces de l’Atlantique), bien que les besoins particuliers de l’acheteur et la disponibilité de l’inventaire soient des considérations clés.

Que vous rêviez d’un chalet au bord de l’eau, d’une copropriété sur les pentes ou d’un havre de pays niché dans les montagnes, vous devrez considérer bon nombre de facteurs importants lors de votre quête d’une propriété récréative. Certains sont propres à la région et au type de propriété, tandis que d’autres sont universels.

Vous trouverez ci-dessous une liste des dix facteurs le plus souvent négligés ou pris pour acquis par les acheteurs de propriétés récréatives :

Rang Considération Répondants
1 La puissance du signal du réseau de téléphonie mobile et Internet dans la propriété et aux alentours de celle-ci. 33,1 %
2 Le fait que de posséder un chalet au bord d’un plan d’eau ne signifie pas nécessairement être propriétaire de la zone riveraine. 15,7 %
3 La source d’alimentation en eau du secteur (c.-à-d. eau du lac, eau de puits, etc.). 12,9 %
4 Les règles régissant la location à court et à long terme (c.-à-d. devenir hôte en louant sa propriété sur Airbnb). 8,5 %
5 L’influence des saisons sur la propriété et l’entretien nécessaire. (L’aménagement hivernal d’une propriété. Celle-ci doit être chauffée même si personne n’y habite. S’il n’est pas possible de l’utiliser en hiver, il faut la fermer adéquatement pour cette saison.) 8,1 %
6 La différence entre une fosse scellée et une fosse septique. 7,3 %
7 La connaissance des règlements de la municipalité se rapportant aux agrandissements et aux rénovations. 5,6 %
8 La collecte des ordures et des matières recyclables (p. ex. s’il faut apporter ses ordures chez soi ou au dépotoir, ou s’il faut acheter des étiquettes à attacher aux sacs à déchets). 4,8 %
9 La réglementation locale concernant l’utilisation de véhicules motorisés sur les plans d’eau. 2,4 %
10 Le déneigement des chemins de campagne menant à la propriété en hiver. 1,6 %

 

Actifs libres de droits de Royal LePage:

La salle des médias de Royal LePage contient de nombreux actifs libres de droits, tels que des images et de même que des vidéos de bobine B, à titre gracieux.

À propos du sondage

Le Sondage sur les premiers acheteurs de propriétés récréatives de Royal LePage a été mené entre le 15 et le 18 juin 2021 auprès de 277 conseillers immobiliers de Royal LePage œuvrant partout au Canada. Chaque répondant a été invité à répondre à un sondage en ligne composé de cinq questions propres à l’achat d’une première propriété récréative.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ». Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.royallepage.ca.

Contact média:

Chloé Bitton
North Strategic pour le compte de Royal LePage
chloe.bitton@northstrategic.com
438-497-5728


 [1]  Royal LePage prévoit une hausse de 15 % des prix des propriétés récréatives canadiennes en 2021 rlp.ca/rapportproprietesrecreatives2021