Button CopyPathCircle CloseCircle Left ArrowArrow Down Icon GreyClosecirclecircleBurger

Sondage de Royal LePage: Près de la moitié des Canadiens âgés entre 25 et 35 ans sont propriétaires de leur résidence; le quart d’entre eux ont acheté leur propriété depuis le début de la pandémie de COVID-19

52 % disent que le télétravail a augmenté la probabilité qu’ils déménagent plus loin de leur lieu de travail

Faits saillants:

  • 68 % des non-propriétaires âgés de 25 à 35 ans prévoient acheter une propriété d’ici les cinq prochaines années
  • 72 % des membres de cette cohorte sont confiants vis-à-vis de leurs perspectives financières à court terme
  • L’épargne de 40 % des membres de cette cohorte a augmenté depuis la mi-mars
  • L’enquête de Royal LePage comprend des observations nationales, régionales et municipales 

TORONTO, le 25 février 2021 – Selon une récente enquête de Royal LePage[1], près de la moitié des Canadiens âgés de 25 à 35 ans (48 %) sont actuellement propriétaires de leur résidence et 25 % de ces répondants ont acheté leur propriété pendant la pandémie. Chez les non-propriétaires, l’intention d’achat est forte (84 %), 68 % des répondants prévoyant de déménager au cours des cinq prochaines années. Ce sont 16 % des personnes interrogées qui indiquent prévoir d’acheter une propriété au cours de l’année, tandis que 14 % songent à s’exécuter d’ici un an ou deux et 39 % dans un horizon de deux à cinq ans.

« La pandémie a offert un levier inattendu aux jeunes Canadiens: un chemin vers l’accession à la propriété », a dit Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Les taux hypothécaires sont descendus à des niveaux planchers et la compétition pour des propriétés d’entrée de gamme a diminué. De nombreux investisseurs ont cherché à vendre leurs immeubles tandis que les groupes de locataires traditionnels comme les étudiants étrangers, les nouveaux immigrants et les locataires de courte durée ont disparu lors de la fermeture des frontières. »

M. Soper souligne que la demande bien plus grande que normale de la part de cette cohorte, combinée au fait que les propriétaires plus âgés aient été généralement plus réticents à mettre leur propriété sur le marché durant la pandémie, ont contribué à une pénurie d’inventaire presque critique dans certaines régions du pays.

« Les mesures nécessaires à prévenir la propagation de la COVID-19 ont motivé plusieurs jeunes Canadiens à acheter, tandis que la crise sanitaire a dissuadé de nombreux propriétaires plus âgés de vendre », a poursuivi M. Soper. « Certains membres de la plus jeune génération vivant avec leurs parents ou des colocataires ont trouvé leur environnement de télétravail inconfortable et encombré. D’autres y ont vu une occasion inespérée s’ouvrir vers l’accession à la propriété. D’un autre côté, plusieurs autres propriétaires plus âgés dont les maisons étaient adéquates pour les circonstances de cette pandémie ont reporté leur projet d’amélioration de leur espace de vie jusqu’à ce que la crise soit sous contrôle.

La confiance des Canadiens dans l’immobilier est forte et, malgré les défis économiques liés à la pandémie, les jeunes âgés de 25 à 35 ans ont de bonnes perspectives financières personnelles. En effet, 92 % des répondants s’entendent pour dire qu’une propriété est un bon investissement financier. Ce sont 72 % qui ont confiance en leurs perspectives financières à court terme et 78 % qui ont confiance en leur avenir financier à long terme. Bon nombre d’entre eux (40 %) ont même vu leur épargne augmenter depuis le début de la pandémie et 11 % ont constaté une augmentation considérable de leurs économies.

« De plusieurs manières, la pandémie a évacué la joie de nos vies d’adultes normalement trépidantes. Pas de soupers au restaurant, ni de concerts avec les amis ou d’escapades hivernales vers le Sud. Même la thérapie du magasinage a perdu de son attrait, comme personne ne remarquera ces nouvelles chaussures lors du prochain appel Zoom. L’aspect positif de cette pandémie est dans les économies personnelles qui explosent, les dollars non dépensés qui font leur chemin vers l’investissement immobilier », a dit M. Soper.

Près des deux tiers des Canadiens de ce groupe d’âge (63 %), qu’ils aient un emploi ou qu’ils en recherchent actuellement un, affirment que le télétravail est un facteur important dans le choix d’un employeur, ce qui n’est pas surprenant compte tenu du volume des ventes dans les régions en dehors des grands centres urbains depuis le début de la pandémie. Cinquante-deux pour cent ont déclaré que la possibilité de travailler à distance augmentait leur probabilité de s’éloigner de leur lieu de travail actuel ou futur. Dans l’ensemble, 39 % des répondants de ce groupe d’âge envisagent de déménager de leur domicile actuel vers un secteur moins densément peuplé en raison de la pandémie, tandis que 46 % ont déclaré que la crise sanitaire n’a eu aucun impact sur leur désir de déménager dans une région moins peuplée.

Lorsqu’on leur a donné le choix, 45 % des 25 à 35 ans ont dit préférer vivre en milieu urbain. Dans une proportion similaire, 47 % ont dit qu’ils choisiraient la banlieue ou la campagne. Interrogés sur le principal attrait de la vie en ville, les répondants ont noté l’accessibilité piétonnière (21 %) et l’accès aux événements, attractions et autres options de divertissement (21 %), suivis par la diversité des personnes et des cultures (18 %) et plus de possibilités d’emploi (17 %). Les deux principales raisons de vouloir déménager dans un secteur moins densément peuplé sont l’accès à plus d’espaces extérieurs (62 %) et les prix moins élevés des propriétés (61 %), suivis de la possibilité d’acquérir une propriété plus spacieuse (51 %).

Des experts de partout au pays ont observé que les jeunes acheteurs se sentaient à l’aise avec les mesures de sécurité mises en place autour du processus d’achat d’une maison pendant la pandémie.

« Les jeunes acheteurs sont excessivement confortables avec la recherche en ligne, que ce soit pour se procurer la toute dernière technologie, une paire de souliers de course, ou une maison », a dit M. Soper. « Ce groupe démographique n’a eu aucun problème à s’adapter à notre utilisation améliorée des visites virtuelles et des signatures électroniques. Nous nous attendons à ce que la pandémie ait accéléré de manière permanente l’adoption parmi nos clients des technologies émergentes pour l’achat et la vente de propriétés », a-t-il conclu.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021

Observations régionales

Ontario

En Ontario, 44 % des jeunes âgés de 25 à 35 ans sont propriétaires d’une résidence. De ce nombre, 26 % ont acheté depuis la mi-mars de l’année dernière. Du côté des répondants qui ne sont pas propriétaires de leur résidence à l’heure actuelle, 68 % affirment qu’ils ont l’intention d’acheter une propriété d’ici cinq ans.

Les Ontariens de cette cohorte croient largement que l’accession à la propriété est un bon investissement (92 %), et près de la moitié des répondants (41 %) affirment que leur épargne a augmenté depuis mars dernier. Les taux hypothécaires plancher et l’option de travailler de presque n’importe quel endroit continuent d’attirer de jeunes acheteurs vers les marchés des quatre coins de la province.

Dans la région du Grand Toronto, 46 % des répondants disent que la pandémie a accru leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée.

« La pandémie a mis beaucoup de choses en perspective, en particulier pour les acheteurs d’une première maison », a déclaré Tom Storey, courtier immobilier de l’agence Royal LePage Signature Realty à Toronto. « Au cours de la dernière année, la plupart de mes clients de 25 à 35 ans se sont inscrits dans l’un de ces trois scénarios d’achat distincts : 1) le marché plus souple des appartements en copropriété et les faibles taux d’intérêt ont permis aux locataires de devenir propriétaires; 2) les acheteurs qui avaient acheté une copropriété il y a quelques années ont pu transformer cette valeur nette en acompte sur une propriété plus grande en banlieue; ou 3) ils ont complètement quitté la ville pour un espace beaucoup plus grand dans des endroits plus abordables comme Hamilton, Guelph ou même les régions habituellement réservées aux chalets. »

Le courtier ajoute que les membres de cette cohorte ne s’attendent pas à trouver la maison de leurs rêves. Ils cherchent simplement à profiter d’économies supplémentaires et des faibles coûts d’emprunt pour investir dans une propriété qui a le potentiel de prendre de la valeur.

Tout en demeurant une option plus abordable que Toronto et Vancouver, Ottawa a vu son marché immobilier s’apprécier au cours des dernières années, en partie en raison de la demande accrue des acheteurs locaux et de l’extérieur, dont beaucoup ont entre 25 et 35 ans.

« Les résidences situées près du centre-ville d’Ottawa sont désormais inaccessibles pour certains membres de ce groupe d’âge, de nombreux acheteurs se tournent donc vers les différentes banlieues en périphérie du centre-ville, qui ne sont qu’à quelques minutes en voiture », observe Justin Millette, courtier immobilier de l’agence Royal LePage Team Realty. « Depuis le début de la pandémie, les priorités de mes clients se sont tournées de l’emplacement à l’espace et à l’abordabilité, et le manque d’inventaire exerce encore plus de pression sur les acheteurs, qui souhaitent faire leur entrée sur le marché le plus tôt possible. Ils sont habités d’un sentiment d’urgence, car ils craignent que certains secteurs ne soient plus à leur portée s’ils n’agissent pas rapidement. »

M. Millette ajoute que depuis mars dernier, il a constaté une augmentation du nombre de jeunes acheteurs à la recherche de propriétés plus grandes, ainsi que de propriétaires actuels cherchant à déménager dans plus grand. Il s’attend à ce que l’intérêt pour la vie urbaine se manifeste de nouveau à la fin de la pandémie, surtout au sein de ce groupe.

Selon notre enquête, 71 % et 75 % des répondants de l’Ontario ont confiance en leurs perspectives financières à court terme et à long terme, respectivement. En outre, 43 % indiquent que leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée a augmenté depuis le début de la pandémie et 56 % affirment que l’option de faire du télétravail a accru leur probabilité de s’éloigner davantage de leur employeur.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021 

Québec

Au Québec, la demande provenant des acheteurs de 25 à 35 ans a envahi le marché immobilier des banlieues au cours de la dernière année, stimulée par les bas taux d’intérêt, la possibilité de travailler à distance et le désir d’investir dans une qualité de vie à long terme.

Selon le sondage, 50 % des membres de cette cohorte sont déjà propriétaires, un ratio plus élevé que dans le reste du pays (48 %). De ces jeunes propriétaires québécois, 18 % ont acheté leur propriété depuis la mi-mars l’an dernier, tandis que la proportion passe à 28 % chez les répondants montréalais, représentant le taux le plus élevé à travers les régions sondées.

Lorqu’interrogés sur leur intention d’acquérir une propriété, 17 % des milléniaux québécois qui ne sont pas propriétaires prévoient acheter au cours de l’année en cours, comparativement à 19 % de ceux habitant à Montréal. La proportion atteint 69 et 68 % des répondants québécois et montréalais, qui disent avoir l’intention d’acheter d’ici les cinq prochaines années, respectivement.

Selon Roxanne Jodoin, courtier immobilier résidentiel, Royal LePage Privilège, à Saint-Bruno-de-Montarville, les milléniaux constituent présentement la masse critique d’acheteurs dans la région du Grand Montréal.

« Les bas taux d’intérêt et la possibilité de travailler de la maison sont actuellement les principaux moteurs de motivation chez les jeunes acheteurs. Je remarque aussi un retour aux sources chez plusieurs d’entre eux. Certains avaient quitté leur banlieue natale pour compléter leurs études en ville et la conjoncture actuelle les incite à revenir pour profiter de plus de pieds carrés, d’un jardin et d’un espace qui leur appartient. La quête de devenir propriétaire est de plus en plus importante pour cette génération et j’observe qu’ils sont très nombreux à passer à l’action. »

Les résultats du sondage confirment cette tendance, puisque 93 % des répondants québécois disent que l’achat d’une propriété constitue un bon investissement financier, représentant le deuxième taux le plus élevé au pays, derrière les Prairies.

« La concurrence sur le marché immobilier est néanmoins très forte. Les acheteurs que je guide dans l’achat d’une propriété sont résilients et persévérants. Je suis impressionnée par leur détermination, leur capacité financière et leur volonté d’investir », ajoute Mme Jodoin.

Par ailleurs, les Québécois âgés de 25 à 35 ans sont les plus confiants au pays envers leurs perspectives financières. Soixante-dix-huit et 86 % des répondants de la province se disent confiants envers leur situation financière à court et long terme, respectivement.

« Les situations d’offres multiples et de surenchères peuvent rendre le processus d’achat accaparant. Il est important de prendre des décisions équilibrées et de miser sur des propriétés qui conserveront leur valeur au fil des ans », conclut Mme Jodoin.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021 

Colombie-Britannique

En Colombie-Britannique, 49 % des résidents âgés de 25 à 35 ans sont propriétaires d’une résidence. De ce nombre, 27 % ont acheté depuis la mi-mars de l’année dernière. Du côté des répondants qui ne sont pas propriétaires de leur résidence à l’heure actuelle, 65 % affirment qu’ils ont l’intention d’acheter une propriété d’ici cinq ans.

La forte demande des acheteurs de 25 à 35 ans continue de stimuler les ventes dans l’Ouest canadien. À l’instar de la situation observée d’un océan à l’autre, de nombreux jeunes Canadiens de la Colombie-Britannique (41 %) ont vu leur épargne augmenter depuis le début de la pandémie, ce qui a été un facteur important dans leur décision d’acheter une maison pendant cette période, avec des taux d’intérêt historiquement bas.

« Les taux d’intérêt très bas sont une bouffée d’oxygène pour le marché », indique Adil Dinani, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage West Real Estate Services de Coquitlam. « Les jeunes acheteurs voient la valeur de l’accession à la propriété; ils ont fait le calcul. À l’heure actuelle, une mensualité hypothécaire peut souvent équivaloir au prix d’un loyer. »

Dans le cadre de notre étude, 91 % des répondants de la province ont déclaré croire que l’achat d’une propriété est un bon investissement. Le courtier note que les clients de ce groupe d’âge pensent à plus long terme et que la faiblesse des taux d’intérêt leur permet d’opter pour une plus grande première maison.

« Au cours de l’année dernière, j’ai remarqué un changement de priorités où les premiers acheteurs valorisent de plus en plus la superficie habitable et l’espace extérieur par rapport à l’emplacement. »

Selon notre enquête, 71 % et 72 % des répondants de la Colombie-Britannique ont confiance en leurs perspectives financières à court terme et à long terme, respectivement. M. Dinani s’attend à ce que l’activité au sein de cette cohorte demeure forte ce printemps et tout au long de la prochaine année.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021

Alberta

L’Alberta affiche le taux d’accession à la propriété le plus élevé parmi les 25 à 35 ans, soit 56 %. De ce nombre, 24 % ont acheté depuis la mi-mars de l’année dernière. Du côté des répondants qui ne sont pas propriétaires de leur résidence à l’heure actuelle, 71 % affirment qu’ils ont l’intention d’acheter une propriété d’ici cinq ans.

Bien que le marché immobilier de l’Alberta soit demeuré stable et équilibré au cours des dernières années, la pandémie de COVID-19 a stimulé l’activité chez les jeunes acheteurs, en particulier dans les centres urbains de la province. Trente-sept pour cent des Albertains âgés de 25 à 35 ans disent avoir vu leurs économies augmenter durant la pandémie.

« Comme les dépenses ont diminué au cours de la dernière année, de nombreux premiers acheteurs ont pu accélérer leurs projets d’un an ou deux », note Doug Cabral, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage Benchmark. « L’accessibilité des logements et les faibles taux d’intérêt, combinés à une augmentation de la mise de fonds, ont permis à ce groupe de profiter de cette période à son avantage. »

Le style de vie, la communauté, les vastes espaces extérieurs et de vie, mais également la valeur de revente potentielle sont tous des facteurs importants dans le processus de décision des jeunes acheteurs. Le courtier remarque une récente hausse de l’activité chez les acheteurs provenant de l’extérieur de la province, notamment de la Colombie-Britannique et de l’Ontario.

« Une personne de Vancouver ou de Toronto a un réel pouvoir d’achat dans une ville comme Calgary, où elle peut obtenir une propriété beaucoup plus spacieuse pour son argent, explique M. Cabral. La superficie en pieds carrés et une meilleure qualité de vie sont les principales priorités des clients sur tous les plans. »

Sixty-six per cent and 79 per cent of those surveyed in Alberta feel confident in their short-term and long-term personal financial outlook, respectively. Cabral expects to see a strong spring market, and anticipates that homeowners in the upper end of the market may be looking to leverage equity in their homes to put towards an investment or recreational property.

Selon notre enquête, 66 % et 79 % des répondants de l’Alberta ont confiance en leurs perspectives financières à court terme et à long terme, respectivement. Le courtier immobilier s’attend à ce que le marché printanier soit vigoureux et prévoit que les propriétaires du segment supérieur du marché chercheront à tirer parti de leurs capitaux propres pour investir dans des propriétés récréatives. 

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021 

Saskatchewan et Manitoba

Dans les provinces des Prairies, 53 % des jeunes âgés de 25 à 35 ans sont propriétaires de leur domicile. De ce nombre, 32 % ont acheté depuis la mi-mars de l’année dernière. Du côté des répondants qui ne sont pas propriétaires de leur résidence à l’heure actuelle, 65 % affirment qu’ils ont l’intention d’acheter une propriété d’ici cinq ans.

« La plupart de mes clients sont des premiers acheteurs âgés de 25 à 35 ans qui vivent actuellement avec leur famille », observe Daniella Payne, courtier immobilier chez Royal LePage Prime Real Estate à Winnipeg. « Bien qu’ils sachent qu’ils ne mettront probablement pas la main sur la première maison sur laquelle ils font une offre, ils sont très motivés et cherchent à profiter de taux d’intérêt bas et d’une épargne accrue. Ils croient que le télétravail, au moins en partie, est inévitable à long terme et veulent s’assurer qu’ils ont suffisamment d’espace pour travailler et vivre confortablement. »

Bon nombre de jeunes acheteurs de la région élargissent leurs recherches pour inclure les quartiers périphériques des grands centres, où il y a plus d’inventaire et d’espace. Quarante et un pour cent de la cohorte déclarent que la pandémie de COVID-19 a accru leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée. Mme Payne conseille aux nouveaux acheteurs d’être prêts à agir rapidement afin de réussir dans leurs démarches.

« Les acheteurs doivent discuter de leur budget et de leurs préférences en matière d’emplacement et obtenir leur financement avant de commencer leur recherche. S’ils trouvent la maison de leurs rêves, la fenêtre pour faire une offre peut être courte pour les propriétés au prix attrayant dans les quartiers populaires », ajoute-t-elle.

Selon notre enquête, 36 % des Canadiens âgés de 25 à 35 ans dans les Prairies ont vu leur épargne augmenter depuis la mi-mars 2020. Selon notre enquête, 73 % et 80 % des répondants de la Saskatchewan et du Manitoba ont confiance en leurs perspectives financières à court et à long terme, respectivement. Mme Payne s’attend à une autre année marquée par une forte activité de la part de cette cohorte, surtout si les taux d’intérêt demeurent bas.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021

Canada atlantique

Au Canada atlantique, 48 % des répondants âgés de 25 à 35 ans sont propriétaires d’une résidence. De ce groupe, 42 % ont procédé à l’achat de leur propriété depuis la mi-mars 2020, le taux le plus élevé de toutes les régions étudiées. Parmi les répondants qui ne sont pas propriétaires de leur résidence à l’heure actuelle, 75 % affirment qu’ils ont l’intention d’acheter une propriété d’ici cinq ans.

La possibilité de faire du télétravail et de ne pas être contraints de faire de longs allers-retours entre la maison et le travail a incité les jeunes acheteurs des Maritimes à réfléchir à ce qu’ils veulent vraiment de leur maison. Ce sont 46 % des répondants ayant actuellement un emploi ou en recherche active d’emploi qui ont indiqué que la possibilité de travailler de la maison a augmenté la probabilité qu’ils déménagent dans un secteur plus éloigné de leur lieu de travail. Comme bon nombre d’autres acheteurs en 2020, ils ont privilégié l’utilisation pratique de l’espace et le style de vie par rapport à l’emplacement.

« Un mois après le début de la pandémie, les acheteurs de ce groupe d’âge se sont rués sur l’achat de propriétés », remarque Will Campbell, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage Atlantic à Halifax. « Le marché actuel est plus problématique en raison de la pénurie d’inventaire. Cependant, les jeunes acheteurs sont déterminés à devenir propriétaires, même s’ils doivent faire preuve de flexibilité quant au secteur. »

Quarante pour cent des répondants du Canada atlantique ont déclaré que leurs économies avaient augmenté depuis le début de la pandémie, ce qui est conforme à la moyenne nationale. Selon notre enquête, 74 % et 82 % des répondants du Canada atlantique ont confiance en leurs perspectives financières à court terme et à long terme, respectivement.

Le courtier remarque que les acheteurs d’une première propriété craignent souvent d’être écartés du marché s’ils n’agissent pas maintenant en tirant avantage des faibles taux d’intérêt. Il s’attend à un marché printanier dynamique avec une certaine injection de nouvelles propriétés, mais fort probablement trop peu pour satisfaire la demande croissante au sein de cette cohorte.

Sondage démographique de Royal LePage 2021 (statistiques nationales, régionales et municipales complètes): rlp.ca/tableau_sondagedemographique2021

 

Actifs libres de droits de Royal LePage:

La salle des médias de Royal LePage contient de nombreux actifs libres de droits, tels que des images et de même que des vidéos de bobine B, à titre gracieux.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ». Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.royallepage.ca.

À propos de Léger

Un sondage en ligne a été réalisé du 29 décembre 2020 au 8 janvier 2021 auprès de 2000 Canadiens âgés de 25 à 35 ans par le biais du panel en ligne de Léger.

Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel web dans le cas présent). Mais aux fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 2000 répondants aurait une marge d’erreur de ±4,6 %, 19 fois sur 20.

Contact média:

Roseline Joyal-Guillot

Directrice associée, Communications et Marketing, région du Québec

514-316-5140

roseline@royallepage.ca

 

[1] Enquête en ligne réalisée auprès de 2000 Canadiens âgés de 25 à 35 ans entre le 29 décembre 2020 et le 8 janvier 2021, par l’entremise du panel en ligne de Léger. Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel web dans le cas présent). Mais aux fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 2000 répondants aurait une marge d’erreur de ±4,6 %, 19 fois sur 20.