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Les Canadiens peuvent s’attendre à un marché immobilier printanier dynamique avec des hausses modestes du prix des maisons

Le chef de la direction de Royal LePage recommande une approche régionale quant à la simulation de crise hypothécaire si le gouvernement fédéral va de l’avant avec les changements prévus en 2020

  • Le prix des maisons a augmenté de 2,2 % au quatrième trimestre tandis que les acheteurs continuent à revenir sur le marché
  • Le prix des propriétés de la région du Grand Toronto grimpe alors que la demande dépasse l’offre
  • La région du Grand Montréal connaît son plus fort taux d’appréciation depuis près d’une décennie
  • Les baisses du prix des maisons d’une année à l’autre dans le Grand Vancouver devraient tirent à leur fin, et se stabilisent d’un trimestre sur l’autre 

TORONTO, le 9 janvier 2020 – Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat[1] des propriétés au Canada a augmenté de 2,2 % d’une année sur l’autre pour atteindre 648 544 $ au quatrième trimestre de 2019. De manière similaire au troisième trimestre, les acheteurs potentiels continuent de revenir sur le marché immobilier. Au cours du premier semestre de 2019, les acheteurs étaient demeurés en grande partie à l’écart afin d’évaluer l’incidence potentielle de la simulation de crise hypothécaire fédérale.

« Nous avons traversé avec succès la première correction importante du marché immobilier canadien depuis la Grande Récession de la dernière décennie, a dit Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. Bien que le déclin dans le nombre de propriétés achetées et vendues durant la période de ralentissement de  2018-19 était considérable, la valeur des maisons au pays a résisté de manière surprenante, mis à part quelques baisses de prix mineures à un chiffre dans les régions de l’Ontario et de la Colombie-Britannique qui avaient connu l’inflation de prix la plus agressive des dernières années, et bien sûr, ces régions continuent de souffrir du ralentissement dans l’industrie pétrolière et gazière. »

« Le gouvernement fédéral a indiqué que des changements pourraient être apportés au mécanisme de simulation de crise hypothécaire en 2020, ajoute M. Soper. La simulation de crise hypothécaire a temporairement écarté des acheteurs du marché immobilier à travers le Canada. Dans la plupart des cas, les acheteurs se sont adaptés, pourtant, la mesure représente toujours un fardeau considérable tandis que les familles poursuivent le rêve de devenir propriétaires. »

M. Soper ajoute que les répercussions d’une baisse de la demande stimulée par une réglementation accrue peuvent être ressenties différemment d’une région à l’autre au pays.

« Nous croyons que les décideurs politiques possèdent l’expérience nécessaire pour modifier l’outil afin de rencontrer la réalité du Canada d’aujourd’hui; que nous avons des économies variées, et par extension, des besoins en matière de politiques de logement qui varient d’une région à l’autre », conclut M. Soper.

La Synthèse nationale des prix des maisons de Royal LePage est compilée à partir de données exclusives sur les propriétés dans 64 des plus grands marchés immobiliers du pays. En examinant le marché par type de propriété, on constate que le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 2,3 % d’une année sur l’autre pour grimper à 761 817 $, tandis que le prix médian d’une maison de plain-pied a connu une hausse modeste de 0,7 % pour se chiffrer à 537 622 $. Les données analysées contiennent les propriétés offertes sur le marché de la revente ainsi que les nouvelles constructions et ont été fournies par RPS Solutions pour propriétés résidentielles, une société affiliée à Royal LePage.

À travers le Canada, les appartements en copropriété demeurent le type de propriété affichant la plus forte croissance, le prix médian augmentant de 3,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 487 525 $. En grande partie, les données sur les appartements en copropriété sont pondérées en fonction des plus grands centres urbains du pays, là où la majorité d’entre eux se retrouvent. Le prix médian d’une copropriété s’est accru de 7,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 565 919 $ dans la région du Grand Toronto, et de 4,4 % d’une année sur l’autre dans la région du Grand Montréal pour atteindre 338 148 $ au cours du quatrième trimestre. Cependant, les hausses observées à l’échelle nationale ont été contrebalancées par la baisse du prix médian des copropriétés d’une année sur l’autre dans le marché du Grand Vancouver, ayant fléchi de 3,4 % pour atteindre 645 607 $. À l’échelle nationale, après des hausses de prix importantes survenues au cours des dernières années dans le segment des copropriétés, les augmentations à deux chiffres sont devenues plus rares. Le prix des maisons détachées est ainsi devenu plus attrayant (l’écart de prix entre les deux segments s’étant réduit) surtout auprès des milléniaux qui recherchent plus d’espace pour loger leur famille grandissante.

Selon l’Étude sur les prévisions du marché de Royal LePage, publiée en décembre 2019, le prix de l’agrégat des propriétés au Canada augmentera de 3,2 % d’une année sur l’autre en 2020, pour s’établir à 669 800 $. Les prévisions de la société pour 2020 supposent des conditions économiques stables et ont été basées en tenant compte qu’aucun changement aux politiques du logement ne survienne. Les prévisions de Royal LePage pour 2020 comprennent des estimations quant à l’agrégat régional et au type de logement.

 

RÉSUMÉ DES MARCHÉS

Région du Grand Toronto

La faiblesse de l’offre, la croissance de la population et l’accroissement de la confiance des consommateurs ont continué de favoriser le prix médian des propriétés dans la région du Grand Toronto. Au quatrième trimestre, le prix de l’agrégat des propriétés dans la région a augmenté de 4,8 % d’une année sur l’autre, pour s’établir à 843 609 $. Au cours de la même période, le prix médian des maisons à deux étages et de plain-pied a augmenté de 4,4 % et 2,4 % pour atteindre 982 944 $ et 806 977 $, respectivement, tandis que celui des copropriétés a augmenté de 7,8 % pour atteindre 565 919 $.

« La région du Grand Toronto est à un tournant. Nous voyons des signes que les prix pourraient commencer à augmenter rapidement », déclare Kevin Somers, chef des opérations, Services immobiliers Royal LePage Limitée. La région a très peu d’inscriptions alors que nous voyons plus d’acheteurs potentiels tentant d’entrer sur le marché. »

La croissance du prix des propriétés a varié considérablement dans l’ensemble de la région. Bien que certains secteurs aient affiché des prix stables et une croissance saine, de nombreuses régions dont le centre de la ville ont montré des signes d’accélération rapide potentielle du taux d’appréciation en raison d’une forte demande et d’une faible offre de propriétés. Des gains de prix importants ont été constatés à Pickering et à Mississauga, où le prix de l’agrégat a augmenté respectivement de 9,7 % et de 7,9 % d’une année sur l’autre. Le prix de l’agrégat des propriétés dans la ville de Toronto a augmenté de 6,6 % d’une année sur l’autre.

Les villes d’Ajax et d’Oshawa ont été les deux seules régions à afficher une baisse d’une année sur l’autre quant au prix de l’agrégat des propriétés. En effet, ce dernier a diminué de 1,2 % et de 1,8 % pour s’établir à 661 049 $ et à 524 423 $, respectivement.

Région du Grand Montréal

Au quatrième trimestre de 2019, le prix de l’agrégat des propriétés dans la région du Grand Montréal a augmenté de 6,3 % d’une année sur l’autre pour atteindre 433 993 $, soit le taux d’appréciation le plus élevé depuis le quatrième trimestre de 2010. La forte demande et le manque d’offre ont alimenté le prix médian des maisons à deux étages et de plain-pied, lequel a augmenté de 7,2 % et de 5,9 %, respectivement, pour atteindre 548 374 $ et 336 981 $. Le prix médian des copropriétés dans la région a augmenté de 4,4 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 338 148 $, affichant la plus faible augmentation parmi les trois types de propriétés relevés au quatrième trimestre.

« Le quatrième trimestre est historiquement le moins actif, mais la demande est restée intacte jusqu’à la fin de l’année dans la région du Grand Montréal, explique Dominic St-Pierre, vice-président et directeur général de Royal LePage pour la région du Québec. Cette concurrence accrue a non seulement entraîné une diminution de l’offre, mais elle a aussi modifié le comportement des vendeurs. Ils sont plus enclins à attendre d’avoir trouvé leur prochaine propriété avant d’inscrire leur maison actuelle. En ce moment, un vendeur éprouve la même frustration qu’un acheteur, aux prises avec un choix limité et des prix en hausse. Cela aggrave le problème d’offre. »

M. St-Pierre ajoute que la tendance à la hausse de l’appréciation des prix au cours des trois dernières années dans la région découle du maintien de la bonne performance économique laquelle a favorisé la croissance de la demande dans l’ensemble des segments d’acheteurs.

« Nous vivons actuellement la ‘tempête parfaite’ pour connaître un marché printanier exceptionnellement compétitif: les taux d’intérêt sont bas, le taux d’emploi est sain, l’offre est limitée et tous les segments d’acheteurs sont actifs, y compris les premiers acheteurs, les baby-boomers, les nouveaux arrivants et les acheteurs étrangers », affirme M. St-Pierre.

Grand Vancouver

Bien que le prix des propriétés continue de baisser d’une année sur l’autre dans le Grand Vancouver, le quatrième trimestre de 2019 a montré des signes d’un marché à l’aube de la reprise. L’agrégat du prix des propriétés dans le Grand Vancouver a fléchi de 4,8 % d’une année sur l’autre pour se chiffrer à 1 107 719 $ au quatrième trimestre. En comparaison, durant le troisième trimestre de 2019, le prix de l’agrégat d’une maison dans la région avait fléchi de 5,2 % comparativement à la même période l’année précédente.

En examinant le marché par type de propriété, le prix médian d’une maison à deux étages et de plain-pied dans le Grand Vancouver a baissé de 4,7 % (-4,2 % au 3e trimestre) et de 6,7 % (-7,6 % au 3e trimestre) d’une année sur l’autre pour s’établir respectivement à 1 443 998 $ et à 1 195 003 $, tandis que le prix médian d’un appartement en copropriété a diminué de 3,4 % (-5,9 % au 3e trimestre) d’une année sur l’autre pour s’établir à 645 607 $.

« Le volume des ventes est en hausse et l’offre diminue. C’est un bon signe de reprise à l’horizon, indique Randy Ryalls, directeur général, Royal LePage Sterling Realty. Nous allons probablement voir une croissance modérée des prix après la baisse des prix de l’année dernière. L’occasion d’obtenir un prix moindre tire rapidement à sa fin pour la plupart des acheteurs habituels. Il reste d’excellentes occasions sur le marché des propriétés de luxe. »

Il ajoute que le marché immobilier du Grand Vancouver était relativement équilibré au quatrième trimestre.

« Les vendeurs ont pu acheter une nouvelle maison et vendre leur propriété actuelle dans un délai assez court, indique M. Ryalls. Le marché était plutôt sain pour les acheteurs et les vendeurs. »

Ottawa

La faiblesse de l’offre et le resserrement du marché de la location continuent d’exercer une pression à la hausse sur le prix des propriétés à Ottawa. Le prix de l’agrégat des propriétés dans la région a connu une augmentation vigoureuse de 5,3 % d’une année sur l’autre au quatrième trimestre de 2019, pour s’établir à 493 947 $. Le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 4,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 521 524 $, tandis que le prix médian d’une maison de plain-pied a grimpé de 10,1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 501 195 $. Au cours du même trimestre, le prix médian d’un appartement en copropriété a connu une hausse de 2,1 % d’une année sur l’autre pour atteindre 329 828 $.

« À Ottawa, le marché immobilier a connu une bonne activité de vente jusqu’en décembre, déclare Kent Browne, courtier et propriétaire de Royal LePage TEAM Realty. Si la demande continue à dépasser l’offre, nous prévoyons une nouvelle hausse des prix ce printemps. »

M. Browne a ajouté que la forte économie locale de la Capitale, soutenue par de bons emplois, attire les Canadiens d’autres régions qui souhaitent s’installer ailleurs.

Calgary

Bien que la reprise du marché immobilier de Calgary ait été lente, les prix d’un trimestre sur l’autre sont encourageants pour les propriétaires. Le prix de l’agrégat des propriétés à Calgary a diminué de 2,3 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 469 916 $ au quatrième trimestre de 2019. Toutefois, au cours des six derniers mois de 2019, le prix de l’agrégat (460 089 $ au 2e trimestre) des propriétés à Calgary a augmenté de 2,1 %.

En examinant le marché par type d’habitation, le prix médian d’une maison à deux étages a diminué de 1,0 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 514 139 $, tandis que celui des maisons de plain-pied a fléchi 4,1 % durant la même période pour se chiffrer à 488 521 $. Aussi, le prix médian d’un appartement en copropriété a diminué de 6,9 % d’une année sur l’autre pour atteindre 265 488 $ au cours de la même période.

« Les ventes se sont améliorées et l’offre a diminué pour les maisons détachées et en rangée. Les acheteurs tirent parti de la baisse des prix, principalement dans le segment des résidences unifamiliales, indique Corinne Lyall, courtière et propriétaire, Royal LePage Benchmark. Il y a encore un surplus d’appartements en copropriété, offrant un excellent choix pour les acheteurs qui recherchent des propriétés clés en main avec peu d’entretien. »

Edmonton

Le prix des propriétés à Edmonton est demeuré relativement stable au quatrième trimestre. Le prix de l’agrégat des propriétés à Edmonton a connu une baisse de 0,7 % comparativement à la même période l’an dernier pour se chiffrer à 379 426 $. En examinant le marché par type de logement, le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 1,2 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 435 426 $, et le prix médian d’un appartement en copropriété est demeuré relativement stable, augmentant de 0,3 % pour passer à 230 969 $. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison de plain-pied a diminué de 5,1 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 361 943 $.

« Les acheteurs se sont adaptés à la simulation de crise hypothécaire et les vendeurs font les compromis appropriés, affirme Tom Shearer, courtier et propriétaire, Royal LePage Noralta Real Estate. Les vendeurs sont optimistes quand ils rencontrent les acheteurs, ils savent qu’ils sont prêts à faire un achat. »

M. Shearer ajoute qu’il s’attend à une croissance modérée des ventes de propriétés au printemps, mais que la croissance des prix sera modeste en 2020.

Halifax

Le prix de l’agrégat des propriétés à Halifax est demeuré relativement stable au quatrième trimestre de 2019, diminuant de 0,6 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 318 768 $. Le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 0,4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 336 353 $. Le prix médian d’une maison de plain-pied est demeuré stable, avec une baisse de 0,2 % d’une année sur l’autre pour passer à 267 036 $, tandis que le prix médian d’un appartement en copropriété a diminué de 3,7 % en glissement annuel pour se chiffrer à 319 987 $.

« L’élan continu et la confiance des consommateurs font des vagues à Halifax, déclare Matt Honsberger, courtier et propriétaire de Royal LePage Atlantic. L’offre du côté des locations est serrée, et pour ce qui est des propriétés mises en vente, le volume est un peu plus de la moitié de ce qu’il aurait été l’an dernier. C’est une formule gagnante pour stimuler une croissance des prix au printemps, quand la demande augmentera. »

Winnipeg

Le prix des propriétés à Winnipeg a connu une hausse solide au quatrième trimestre. Le prix de l’agrégat des propriétés dans la région a augmenté de 7,4 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 321 346 $. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison de plain-pied a augmenté de 5,3 % d’une année sur l’autre et celui d’un appartement en copropriété a augmenté de 1,1 % d’une année sur l’autre pour s’établir respectivement à 306 293 $ et 232 875 $. Le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 10,2 % d’une année sur l’autre pour atteindre 353 536 $.

« Les ventes sont en hausse sur le marché des maisons détachées, particulièrement pour les propriétés de plus de 800 000 $, mentionne Michael Froese, directeur associé, Royal LePage Prime Real Estate. Bien que la demande ait été forte, l’offre est vaste, ce qui permet une bonne sélection et un maintien de l’accessibilité. »

Regina

Le prix de l’agrégat des propriétés à Regina a diminué de 2,8 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 314 937 $ au quatrième trimestre. Le prix médian d’une maison à deux étages a augmenté de 1,2 % et celui d’une maison de plain-pied a diminué de 4,6 % d’une année sur l’autre, pour se chiffrer à 387 892 $ et 286 402 $, respectivement. Le prix médian d’un appartement en copropriété a diminué de 15,0 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 200 261 $.

« Les vendeurs de maisons à deux étages sur le marché de la revente ont fait face à une forte compétition vis-à-vis des nouvelles constructions en 2018 puisque les promoteurs immobiliers avaient réduit leurs prix pour stimuler les ventes, dit Mike Duggleby, directeur associé, Royal LePage Regina Realty. Maintenant que le surplus de nouvelles maisons est sous contrôle, le marché de la revente commence à regagner les concessions de prix. »

Pour consulter d’autres analyses régionales, visitez la salle des médias de Royal LePage, où vous trouverez des communiqués régionaux. La salle des médias offre aussi des ressources libres de droits, comme des photos sans marque et des vidéos de bobine B, à titre gracieux aux médias.

Synthèse nationale des prix des maisons de Royal LePage – 4e trimestre 2019 (.PDF)

 

À propos de l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage

L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage présente des renseignements sur les trois types d’habitation les plus courants au Canada dans 64 des plus grands marchés immobiliers au pays. La valeur des maisons présentée dans l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage est fondée sur la Synthèse du marché immobilier canadien de Royal LePage, un document produit chaque trimestre à l’aide des données de l’entreprise, en plus des données analytiques de sa société sœur, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la source de confiance pour les renseignements et les analyses sur le secteur immobilier résidentiel au Canada. Les commentaires sur l’immobilier et les prévisions quant aux valeurs sont fournis par des spécialistes en immobilier résidentiel de Royal LePage à partir de leurs opinions et de leur connaissance du marché.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans plus de 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants et appuie les programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services Inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX : BRE ». Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez : www.royallepage.ca.

 

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Roseline Joyal-Guillot
Directrice associée, Communications et Marketing, région du Québec
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roseline@royallepage.ca

[1]Le prix de l’agrégat des propriétés avancé par Royal LePage est fondé sur un modèle pondéré composé de prix médians et comprend tous les types d’habitation.