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Le prix des propriétés récréatives au Canada appelé à s’apprécier de 5,8 % en 2018

 Les baby-boomers approchant la retraite et la génération X, la force motrice du marché des propriétés récréatives

L’instauration d’un nouvel impôt sur la spéculation agit comme une douche froide pour les aspirants investisseurs britanno-colombiens 

1082 Halls Rd, unité 5, Port Sandfield, Ont.
4 695 000 $
Chambres à coucher: 7
Salles de bain: 4
Espace habitable: 2 932 p2
Superficie du terrain: 3,94 âcres
Courtier inscripteur: Bob Clarke, Royal LePage Lakes of Muskoka
Clarke Muskoka Realty

Toronto, le 6 juin 2018 — D’après un sondage effectué aux quatre coins du pays après des spécialistes des propriétés récréatives de Royal LePage, le marché des propriétés récréatives est fin prêt à pour une croissance saine à un chiffre en 2018, étant donné que les acheteurs d’un bout à l’autre du pays affluent vers les lacs et rivières, littoraux et flancs de montagne à la recherche d’une résidence secondaire pour y passer leur retraite ou y élever leurs enfants. Entre temps, la valeur des propriétés récréatives en Colombie-Britannique devrait légèrement baisser étant donné que le nouvel impôt sur la spéculation qui concerne les résidences secondaires devrait entraver l’augmentation des prix tout en encourageant les Albertains, qui figurent parmi les cohortes les plus importantes d’acheteurs de propriétés récréatives dans la région, à modifier leur recherche pour aller dénicher une résidence secondaire ailleurs.

Si l’on anticipe l’état du marché d’ici la fin de l’été, le prix d’une propriété récréative au Canada devrait augmenter de 5,8 pour cent sur 12 mois pour atteindre 467 764 $. En examinant les provinces de plus près, nous nous attendons également à ce que la majorité d’entre elles observent une forte hausse des prix, l’Ontario et l’Alberta ouvrant la voie avec des augmentations de 10,4 pour cent et 8,9 pour cent sur 12 mois pour atteindre 535 885 $ et 770 100 $, respectivement. Seules trois régions devraient connaître une dépréciation de la valeur des propriétés récréatives. Selon nos prévisions, le Canada atlantique (228 754 $) et la Colombie-Britannique (531 333 $) verront leurs prix baisser de 7,5 pour cent et 2,8 pour cent, respectivement, tandis que le Manitoba (230 833 $) restera essentiellement au même niveau avec une baisse de 0,9 pour cent pour la même période.

« Stimulé par la robustesse de l’économie nationale, le marché de l’immobilier récréatif canadien est de nouveau appelé à connaître une année solide », a indiqué Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Tandis que la valeur des propriétés et les ventes sur les marchés urbains les plus importants du Canada se sont adoucies, la demande de propriétés récréatives reste forte dans la plupart des régions. La recherche de la parfaite escapade estivale se poursuit, inlassablement. »

Lorsqu’on interroge les spécialistes des propriétés récréatives, 42,0 pour cent d’entre eux ont la conviction que les ventes augmenteront dans leur région cette année comparativement à la même période en 2017. Toutefois, cette légère hausse de la demande observée dans les régions ne se traduira pas directement par une baisse de l’offre puisque plusieurs des répondants dans chacune des provinces, à l’exception de l’Ontario, anticipent une hausse de l’inventaire comparativement à 2017 (48,2. pour cent).

Cette tendance sera largement visible en Colombie-Britannique où le nouvel impôt sur la spéculation visant à limiter les achats de propriétés par des non-résidents de la province, incitera de nombreux propriétaires actuels à vendre leur résidence secondaire. Par conséquent, une légère chute des prix dans cette région est prédite au cours de l’année bien que 40,0 pour cent des spécialistes des propriétés récréatives aient prévu une hausse des ventes. Cela s’explique partiellement par une augmentation prévue de l’offre (47,5 pour cent) : en effet, de nombreux propriétaires de résidences secondaires résidant à l’étranger vendent leur propriété pour échapper aux impôts annuels. Par ailleurs, en dépit d’une hausse prévue des ventes, 55,0 pour cent des répondants de la province croient que les législations non seulement affaibliront l’élan observé dans la région, mais empêcheront aussi le niveau des ventes d’atteindre son vrai potentiel, tandis que 40,0 pour cent des répondants ont aussi rapporté que les nouvelles réglementations auront des conséquences sur les prix.

« Affichant l’économie à la croissance la plus rapide au Canada, l’on s’attendrait que la Colombie-Britannique, avec ses régions récréatives vastes et variées, montre la voie pour le reste du pays », a poursuivi M. Soper. « Cela ne sera pas le cas à court terme étant donné que de nouveaux impôts visant en particulier les propriétaires de résidences récréatives devraient affaiblir les marchés dans l’ensemble de la province, ce qui amènerait les aspirants acheteurs à investir ailleurs. Même si ces réglementations ont été élaborées en vue d’entraver la spéculation et l’investissement étranger, les acheteurs internationaux représentent une part minime du marché des propriétés récréatives. Les reventes rapides de « flips » immobiliers tant redoutées sont un phénomène urbain. »

L’on s’attend à ce que les Albertains, qui constituent l’une des cohortes d’acheteurs les plus importantes et les plus permanentes sur le marché des propriétés récréatives britanno-colombien,  recherchent de plus en plus au sein de leur propre province pour acheter une résidence de villégiature, ce qui favorisera la hausse des prix dans des régions très convoitées comme Canmore ou l’ouest de Calgary dans les Rocheuses.

Entre temps, affichant un prix de l’agrégat prévu de 290 271 $, le marché des propriétés récréatives au Québec devrait connaître une croissance saine étant donné que l’économie robuste et diversifiée de la province incite de nombreux acheteurs à quitter les grands centres urbains pour aller s’installer dans des régions récréatives plus rurales. D’après le sondage, 43,8 pour cent des répondants du Québec croient que le nombre d’acheteurs cherchant faire l’acquisition d’une propriété récréative comme première maison s’accroîtra cette année en comparaison avec l’année dernière.

« Nous croyons fermement en l’avenir du marché québécois des propriétés récréatives », a ajouté Phil Soper. « En raison d’une économie en plein essor qui offre davantage de revenus disponibles aux familles, nous nous attendons à ce que les régions telles que Mont-Tremblant profitent d’importants volumes de ventes de chalets et une appréciation de la valeur des propriétés. »

À l’échelle nationale, 73,5 pour cent des spécialistes des propriétés récréatives interrogés ont remarqué que les propriétaires étrangers représentent moins de 5,0 pour cent du marché des propriétés récréatives. En examinant les provinces de plus près, plus de 80,0 pour cent des répondants de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Alberta croient que les achats internationaux représentent moins de 5,0 pour cent des ventes (80.0 pour cent, 85.7 pour cent, 88.9 pour cent et 81.3 pour cent, respectivement). La région où cette affirmation était la moins élevée aux quatre coins du pays est celle du Canada atlantique, où 40,0 pour cent des répondants croient que les achats mondiaux représentent moins de 5,0 pour cent du marché total, tandis que 40,0 pour cent des répondants croient que ce segment représente entre 5,0 pour cent et 10,0 pour cent du marché.

D’après les résultats du sondage, 59,0 pour cent des répondants ont indiqué que les membres de la génération X, âgés de 36 à 51 ans, constituent le plus important groupe d’acheteurs de résidences récréatives au Canada. Ces acheteurs seront typiquement à la recherche d’une propriété située à moins de deux heures de route de leur résidence principale (67,5 pour cent), et leurs motivations principales d’achat seront le mode de vie associé (84,5 pour cent) et la possibilité d’en faire leur résidence principale lors de la retraite (49,5 pour cent). La très grande majorité des répondants sont d’avis que les principales motivations des propriétaires lorsqu’ils choisissent de mettre leur résidence secondaire en vente sont: qu’ils prennent de l’âge (80,0 pour cent), qu’ils ne sont plus en mesure d’entretenir leur propriété (48,5 pour cent) et que leur propriété devenait inutilisée (67,5 pour cent). Toutefois, malgré cela, plus des deux tiers des répondants (68,5 pour cent) ont observé une tendance à la hausse parmi les baby-boomers et les futurs retraités qui achètent des propriétés récréatives dans l’intention de s’en servir comme résidence principale. Un grand nombre de répondants étaient d’avis que les ventes attribuées à cette cohorte connaîtront une croissance au cours du reste de l’année (43,0 pour cent).

« Alors que le virage générationnel continue sa lancée au Canada, les acheteurs potentiels de propriété récréative appartiennent à deux générations : les baby-boomers et la génération X », a expliqué M. Soper. « Le marché est stimulé à la fois par ceux à la recherche de la maison de leurs rêves pour y profiter de leur retraite et par ceux qui cherchent à introduire leurs enfants aux merveilles qu’offre un certain nombre de territoires naturels les plus vastes et les plus intacts au monde. Non seulement ces familles considèrent-elles les propriétés récréatives comme étant un bon investissement en raison de leur accessibilité relative et de leur historique d’augmentation stable de la valeur, mais aussi comme étant un moyen d’entamer un nouveau chapitre palpitant de leur vie. »

 

Sommaire des prix à l’échelle nationale et provinciale (.PDF)

 

Survol des tendances par province

En Colombie-Britannique, la province la plus à l’ouest du Canada, le prix de l’agrégat d’une propriété récréative devrait diminuer de 2,8 pour cent sur 12 mois d’ici la fin septembre 2018, et ce, malgré le fait que de nombreux acheteurs cherchent à tirer profit de la vente de leur résidence principale et à s’installer dans les régions plus pastorales de la campagne. Cela s’explique principalement par le nouvel impôt sur la spéculation mis en place par le gouvernement provincial, lequel incitera de nombreux acheteurs de l’extérieur de la province à quitter les marchés touchés. La valeur des propriétés récréatives, qui surpasse maintenant 500 000 $ en moyenne, contribuera aussi très certainement à la baisse prévue. En effet, les acheteurs potentiels auront de la difficulté à s’occuper d’une résidence principale en plus d’une résidence secondaire dans la province.

« En Colombie-Britannique, les prix élevés des propriétés résidentielles ont poussé de nombreuses personnes à s’aventurer de plus en plus à l’extérieur de la ville et à devenir toujours plus créatifs quant à l’achat de leur maison », a indiqué Adil Dinani, consultant en immobilier, Royal LePage West Real Estate Services. « Alors que l’activité et les prix ne cesseront pas de croître dans les régions exemptées du nouvel impôt, par exemple la vallée de l’Okanagan et les îles Gulf, les régions qui ne le sont pas stagneront, en particulier si l’on s’éloigne des centres-villes les plus importants.

La province de l’Alberta présente le prix de l’agrégat le plus élevé dans le segment des propriétés récréatives au pays. Selon nos estimations, les prix connaîtront une hausse de 8,9 pour cent sur 12 mois pour atteindre 770 100 $, si bien que la province mène la course de plus de 200 000 $ face à toutes les autres collectivités. Elle maintiendra certainement sa position à l’avenir grâce en partie aux nombreux acheteurs potentiels souhaitant retourner dans leur région natale pour dénicher une propriété récréative à la suite de l’application de l’impôt sur la spéculation en Colombie-Britannique.

« Contrairement à la Colombie-Britannique ou à l’Ontario, provinces dans lesquelles vous vous situez pratiquement à quelques pas d’un lac en tout temps, l’Alberta possède une quantité limitée de marchés récréatifs “traditionnels” », a noté Tom Shearer, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Noralta Real Estate. « Cette situation a causé une prime importante sur toutes les propriétés récréatives dans la province, et étant donné que de plus en plus de locaux se tournent vers leur propre province pour ce type de propriété, la demande et par conséquent les prix continueront d’augmenter . »

En Saskatchewan, l’on s’attend à ce que la valeur d’une propriété récréative demeure relativement au même niveau avec une appréciation de seulement 0,7 pour cent sur 12 mois pour atteindre 304 750 $ d’ici la fin du marché d’été. Dans cette région, l’offre de propriétés sur le marché devrait augmenter (66,7 pour cent). Le sentiment à l’égard des ventes reste néanmoins mitigé puisque 55,6 pour cent des courtiers interrogés ont indiqué qu’elles seront comparables à celles de l’année dernière alors que 44,4 pour cent croient qu’elles diminueront légèrement.

« Tandis que l’économie saskatchewanaise, et en particulier le prix des produits de base, ne cesse de s’améliorer, les gens restent consciencieux quant aux achats non essentiels », a expliqué Mike Duggleby, dirigeant-propriétaire, Regina Realty. « Pourtant, bien que l’on anticipe la mise sur le marché d’un nombre accru de propriétés cette année en dépit des prix stables et relativement bas, le moment pourrait être venu pour capitaliser et s’aventurer du côté de l’accession à la propriété de résidences récréatives. »

Du côté du Manitoba, les prix de l’immobilier récréatif devraient demeurer relativement aux mêmes niveaux en 2018, diminuant de 0,9 pour cent année après année pour atteindre 230 833 $ d’ici la fin septembre 2018. Bien que la majorité des spécialistes de l’immobilier récréatif interrogés dans la province s’attendent à ce que les niveaux de ventes demeurent comparables à l’année dernière (57,1 pour cent), le même nombre de répondants prévoient une hausse dans l’offre qui devrait limiter l’appréciation des prix.

« Malgré une forte économie et un bas taux de chômage, les prix à travers le marché récréatif de la province devraient demeurer stables cette année, causé par un pouvoir d’achat amoindri par nouvelles règles hypothécaires chez les acheteurs potentiels », a expliqué Michael Froese, directeur général, Royal LePage Prime Real Estate. « Même si le Manitoba abrite certaines des propriétés récréatives les plus abordables du pays, et profite de programmes uniques visant à encourager l’accès à la propriété dans ce segment de marché, la nouvelle simulation de crise incitera plusieurs acheteurs à y penser à deux fois avant d’engager une dette additionnelle, limitant le grand potentiel issu de ce marché cette année. »

Entre temps, en Ontario, le prix des propriétés récréatives est prêt à s’envoler en 2018 affichant une hausse de 10,4 pour cent pour atteindre 535 885 $ comparativement à la même période l’année dernière. Les experts en propriétés récréatives interrogés prévoient une baisse des inventaires (52,3 pour cent) tandis qu’une hausse des ventes (51,2 pour cent) exercera une pression importante sur les marchés dans l’ensemble de la province. Récemment, 80,2 pour cent des répondants ont remarqué qu’un nombre croissant de baby-boomers tentent leur chance sur les marchés ontariens pour acheter une propriété récréative en vue d’en faire leur résidence principale. En conséquence, les ventes effectuées auprès de cette cohorte devraient continuer de croître tout au long de l’année (47,7 pour cent).

« Les baby-boomers de l’ensemble de la région du Golden Horseshoe ne cessent de s’aventurer sur les marchés des propriétés récréatives pour chercher à tirer profit de la valeur de leur résidence préexistante et ainsi trouver des propriétés extrêmement abordables qu’ils pourront utiliser jusqu’à leur retraite », a expliqué Tom Storey, courtier immobilier, Royal LePage Signature Realty. « Cette tendance perdurera certainement au cours des prochaines années, ce qui poussera les prix à la hausse tandis que la richesse continue son exode vers des communautés rurales plus isolées. »

Au Québec, les prix devraient connaître une croissance saine en 2018, augmentant de 2,8 pour cent sur 12 mois pour atteindre 290 271 $ d’ici la fin de l’été. Abritant des propriétés comptant parmi les plus abordables dans des emplacements uniques, en particulier lorsqu’on prend en compte les attraits locaux, les ventes dans la province devraient croître tout au long de l’année (50,0 pour cent). Fait intéressant, plus du quart des répondants (28,1 pour cent) ont indiqué que les acheteurs étrangers représentent une frange de 5,0 à 10,0 pour cent du marché des propriétés récréatives de la province. Un total de 43,8 pour cent des personnes interrogées prédisent même que ce pourcentage augmentera d’ici la fin septembre 2018. Cette cohorte d’acheteurs étrangers, croit-on, en plus des acheteurs nationaux, ont l’intention de louer les propriétés achetées pendant l’année afin de mieux les rentabiliser (62,5 pour cent).

« Malgré les importantes disparités de prix au sein des marchés immobiliers récréatifs du Québec, la variété de propriétés abordables de paire avec la qualité de vie de classe mondiale et ses emplacements magnifiques, en font une destination de premier rang pour plusieurs acheteurs de résidence secondaire potentiels », a affirmé François Léger, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Humania. « Alors que Mont-Tremblant a la réputation d’être une destination internationale pour des acheteurs de propriété récréative potentiels cherchant à s’établir dans des résidences secondaires haut-de-gamme, d’autres marchés comme la Petite-Nation en Outaouais, ou Memphrémagog, offrent des propriétés récréatives plus abordables qui attirent des acheteurs locaux », a-t-il ajouté.

Dans la région du Canada atlantique, il est prévu que la valeur des maisons récréatives chute de 7,5 pour cent sur 12 mois pour atteindre 228 754 $ d’ici la fin septembre. Tandis que les ventes (50,0 pour cent) et l’inventaire (40,0 pour cent), resteront relativement comparables aux niveaux de l’année dernière, il semble qu’une tendance émerge selon laquelle de nombreux acheteurs potentiels s’aventurant sur le marché recherchent des propriétés plus anciennes afin de les démolir et de faire construire la maison de leurs rêves, ce qui maintiendrait les coûts globaux peu élevés. Cela s’explique largement par le fait que l’excellente accessibilité de la région, qui continue d’attirer un nombre croissant de futurs retraités sur le marché (60,0 pour cent). Comme les spécialistes des propriétés récréatives l’observent déjà au Québec, les acheteurs internationaux s’intéressent à de nombreuses régions du Canada atlantique. D’après 40,0 pour cent des experts en propriétés récréatives interrogés, il est prévu que les achats de propriétés récréatives par des citoyens étrangers augmentent dans la région alors que les achats internationaux représentent déjà 5 à 10 pour cent du marché.

« Récemment, de nombreux acheteurs venus des quatre coins du pays et d’ailleurs continuent d’affluer vers le Canada atlantique, une région revendiquant des prix comptant parmi les plus abordables du pays, pour profiter de son excellente valeur », a confirmé Marc Doucet, courtier accrédité, Royal LePage Atlantic. « Plutôt que d’acheter une résidence “clés en main”, ces acheteurs prennent leur temps et font construire la maison de leurs rêves. »

 

À propos de l’Étude de Royal LePage sur les propriétés récréatives

Le sondage de Royal LePage sur les propriétés récréatives a interrogé 200 courtiers immobiliers se spécialisant dans la vente de propriétés récréatives d’un bout à l’autre du Canada, entre le 15 mai 2018 et le 1er juin 2018. Chaque répondant fût appelé à répondre à un sondage composé de 20 questions couvrant une variété de sujets incluant les tendances régionales du marché immobilier récréatif, la démographie des acheteurs et vendeurs, l’activité des acheteurs étrangers et les niveaux de ventes. Des entrevues séparées ont été menées pour valider les résultats du sondage et tirer davantage d’information concernant la performance et les principaux moteurs d’activité de chaque marché.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de plus de 18 000 professionnels de l’immobilier répartis dans plus de 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’à des programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Brookfield Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX : BRE ».

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Kaiser Lachance Communications
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Colombie-Britannique

100 Mile House
Mel Grahn, agent immobilier
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Gulf Islands

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Mont Washington

Rick Gibson, agent immobilier
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Hornby Island

Donna Tuele, propriétaire
Royal LePage In The Comox Valley
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Comox Valley

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Royal LePage In The Comox Valley
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Vallée de l’Okanagan

Mark Walker, agent immobilier
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Denman Island

Sylvie Schroeder, agent immobilier
Royal LePage In The Comox Valley
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250-898-9199

Sunshine Coast

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Alberta

Canmore

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Royal LePage Rocky Mountain Realty
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403-678-7557

Lac Wabamun et Lac St. Anne

Tom Shearer, courtier propriétaire
Royal LePage Noralta Real Estate
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780-431-5600

Lac Glennifer

Linnea Thompson, agent immobilier
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Pine Lake

Dusty Smith, agent immobilier associé
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Pigeon Lake

Barbara Howey, courtier propriétaire
Royal LePage Parkland Agencies
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Sylvan Lake

Ted Iverson, agent immobilier
Royal LePage Network Realty Corp.
tediverson@royallepage.ca
403-887-2286

Saskatchewan

Regina

Mike Duggleby, courtier propriétaire
Royal LePage Regina Realty
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306-533-2433

Christopher Lake, Emma Lake et Candle Lake

Lou Doderai, courtier propriétaire
Royal LePage Icon Realty
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306-960-7925

Manitoba

Grand Beach District

Lee Ann Shewchuk, agent immobilier
Royal LePage Top Producers Real Estate
shew5353@hotmail.com
204-771-7132

Lac du bonnet

Rolf Hitzer, courtier propriétaire
Royal LePage Top Producers Real Estate
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204-960-2159

Région d’Interlake

John Bucklaschuk, courtier propriétaire
Royal LePage JMB & Associates
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204-941-9046

Lac Manitoba

Warren Neufeld, dirigeant d’agence
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warren@rlpportagerealty.ca
204-856-3076

Ontario

Blind River

Catherine Green, agent immobilier
Royal LePage Mid North Realty, agence immobilière
catherineg@royallepage.ca
705-849-5357

Bruce Peninsula

Paul Annett, agent immobilier
Royal LePage RCR Realty, agence immobilière
pannett@bmts.com
519-793-3544

East Kawarthas

Chiarina Payne, directrice d’agence
Royal LePage Frank Real Estate, agence immobilière
cpayne@royallepage.ca
705-748-4056

Kawartha Lakes

Linda Duncan, agent immobilier
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lduncan@nexicom.net
705-887-1010

Haliburton Highlands

Anthony vanLieshout, CRA, dirigeant d’agence
Royal LePage Lakes of Haliburton, agence immobilière
info@trilliumteam.ca
705-457-2414

Honey Harbour

Laurie Belsey, dirigeante d’agence
Royal LePage In Touch Realty, agence immobilière
lauriebelsey@gmail.com
705-756-8888

Muskoka

Bob Clarke, agent immobilier
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bob@mymuskokacottages.com
416-209-1820

Land O’Lakes

Chris Winney, dirigeant d’agence
Royal LePage ProAlliance Realty, agence immobilière
Chriswinney1@aol.com
613-336-1737

Fredericton

Brad Johnstone, dirigeant d’agence
Royal LePage NRC Realty, agence immobilière
brad@homesniagara.com 

Orillia et South Muskoka

Stewart McNeely, dirigeant d’agence
Royal LePage Real Quest Realty, agence immobilière
StewartMcNeely@royallepage.ca
705-323-5840

Parry Sound

David Kingshott, courtier propriétaire
Royal LePage Team Advantage Realty, agence immobilière
davidkingshott@royallepage.ca
705-746-0405

Lac Rideau

Pauline Aunger, dirigeant d’agence
Royal LePage Advantage Real Estate, agence immobilière
paulineaunger@royallepage.ca
613-285-9158

Sud-Ouest de l’Ontario

Fred Lobb, courtier propriétaire
Royal LePage Heartland Realty, agence immobilière
fredlobb@royallepage.ca
519-955-0012

Île St-Joseph et Lac Huron

Carl Thomas, courtier propriétaire
Royal LePage Northern Advantage, agence immobilière
carlthomas@royallepage.ca
705-542-7831

Sudbury

Alex Dumas, dirigeant d’agence
Royal LePage North Heritage Realty, agence immobilière
AlexDumas@royallepage.ca
705.688.8000

Québec

Petite-Nation

Richard Beaulieu, dirigeant-propriétaire et courtier immobilier agréé DA
Royal LePage Vallée de l’Outaouais, agence immobilière
richardbeaulieu@royallepage.ca
819.743.2227/Line: 819.743.2734

Lanaudière

Guylaine Pelletier, courtier immobilier agréé DA
Royal LePage Habitations, agence immobilière
guylainepelletier@royallepage.ca
514-269-2114

Mont-Tremblant

Paul Dalbec/Jennifer McKeown, courtiers immobiliers agréés DA
Les Immeubles Mont-Tremblant, agence immobilière
pauldalbec@royallepage.ca
819-425-4008

Charlevoix

Jean-François Larocque, courtier immobilier agréé DA
Royal LePage Inter-Québec, agence immobilière
jfl@royallepage.ca
418-635-1191

Saint-Sauveur
Ronald Lécuyer, dirigeant-propriétaire et courtier immobilier agréé DA
Royal LePage Plus
ronaldlecuyer@royallepage.ca
450-569-2561

Nouveau-Brunswick

Shediac

Ralph Pritchard, agent immobilier
Royal LePage Atlantic
ralph.pritchard@rogers.com
506-312-3399

Tobique River

Nicole Levesque, courtier propriétaire
Royal LePage Grand Falls Real Estate
nicolelevesque@royallepage.ca
506-473-0099

Sud-est du Nouveau-Brunswick

Norah Higgerity, agent immobilier
Royal LePage Atlantic
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506-531-6375

Nouvelle-Écosse

Halifax

Amy Fisher, agent immobilier
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amysellshouses@hotmail.com
902-488-0449

Terre-Neuve

Glenn Larkin, agent immobilier
Royal LePage Professionals 2000
glennlarkin@royallepage.ca
709-576-8888