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Le prix des maisons à proximité des domaines skiables populaires au Canada devrait fléchir de 3 % au cours de la prochaine année, malgré la hausse des prix observée en glissement annuel

Le prix des maisons unifamiliales détachées a augmenté de 15,1 % au cours des 10 premiers mois de 2022

  • Le domaine skiable de Big White, en Colombie-Britannique, affiche la plus forte hausse du prix médian dans le segment des maisons unifamiliales détachées (45,5 %) parmi les régions considérées
  • La région de Mont-Tremblant, au Québec, enregistre la plus forte hausse du prix médian dans le segment des copropriétés (44,4 %) parmi les régions considérées
  • Le prix des copropriétés dans le sud de la baie Georgienne enregistre une hausse modeste de 1,3 % en glissement annuel en 2022, après un bond de plus de 50 % l’an dernier
  • Des résidents des États américains frontaliers qui possèdent une propriété récréative au Canada, 75 % ont effectué leur transaction après l’annonce par le gouvernement fédéral d’une interdiction de deux ans pour les acheteurs étrangers

TORONTO, le 29 novembre 2022 – Selon un récent rapport de Royal LePage, le prix des maisons à proximité des domaines skiables populaires du Canada a enregistré une hausse à deux chiffres en glissement annuel[1] depuis le début de 2022, malgré l’augmentation des taux d’intérêt et la baisse des prix sur le marché résidentiel. Au cours des 10 premiers mois de l’année, à l’échelle nationale, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 15,1 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 1 042 700 $.

« Alors que la hausse rapide des taux d’intérêt, qui a commencé en mars dernier, a forcé plusieurs acheteurs potentiels à se tenir à l’écart du marché résidentiel, certains acheteurs de propriétés récréatives – plus précisément dans les marchés haut-de-gamme – ont fait preuve d’une plus grande tolérance à l’égard de l’augmentation des coûts hypothécaires mensuels », indique Pauline Aunger, courtière accréditée, Royal LePage Advantage Real Estate. « De plus, plusieurs acheteurs de propriétés secondaires sont en mesure de tirer profit de la valeur nette de leur résidence principale, ou encore, peuvent acheter sans financement. »

Toutes les régions récréatives considérées ont enregistré des baisses à deux chiffres du nombre de maisons vendues au cours des 10 premiers mois de 2022 par rapport à la même période l’an dernier, alors que la demande de propriétés atteignait des sommets historiques. Les experts du marché des propriétés récréatives de Royal LePage de l’ensemble du pays font état de conditions plus équilibrées et d’une augmentation du nombre de propriétés sur le marché immobilier comparativement à 2021. Il est largement prévu qu’une nouvelle hausse des prix est peu probable, les niveaux d’activité devant poursuivre leur déclin.

« Pour une majorité de Canadiens, être propriétaire d’une résidence récréative correspond à un style de vie désirable mais non-essentiel », mentionne Mme Aunger. « Dans l’environnement économique actuel, il n’est pas surprenant que les ventes aient reculé. Puisqu’il y a un plus grand nombre de propriétés récréatives sur le marché et que la plupart d’entre elles y restent plus longtemps, les acheteurs font face à une concurrence beaucoup moins forte que l’année dernière. De plus, bien que les niveaux d’activité aient ralenti par rapport aux niveaux exubérants observés pendant le boom de la pandémie, la demande de propriétés récréatives reste saine, et ce, dans le cas des résidences principales et secondaires. Même si les bureaux rouvrent et que les voyages internationaux reprennent, les acheteurs pouvant travailler à distance continuent de s’installer définitivement dans des communautés récréatives à la recherche d’une meilleure conciliation travail-vie personnelle et d’un accès au plein air. »

Dans son budget 2022, publié le 7 avril dernier, le gouvernement du Canada a annoncé qu’il mettra en œuvre une mesure visant à interdire aux particuliers qui ne sont pas citoyens canadiens ou résidents permanents d’acquérir une propriété résidentielle au pays pour une période de deux ans.[2] L’interdiction devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2023. Même si les propriétés récréatives devraient être exemptées de cette restriction, l’annonce a eu un impact important sur les intentions d’achat des citoyens américains.

Un récent sondage, mené par Léger pour le compte de Royal LePage auprès de citoyens américains vivant dans les États frontaliers[3], révèle que 75 % de ceux qui possèdent actuellement une propriété récréative au Canada ont déclaré avoir fait leur achat après l’annonce de l’interdiction imposée aux acheteurs étrangers pour une période de deux ans. Parmi ceux qui ont fait leur acquisition après l’annonce, 77 % ont déclaré que l’impact potentiel de l’interdiction sur leur capacité à acquérir des biens immobiliers au Canada après le 1er janvier 2023 a influencé leur décision d’acheter avant la fin de cette année.

Parmi les personnes interrogées qui ne possèdent pas actuellement une propriété récréative au Canada, mais qui prévoient d’en faire l’acquisition, 67 % ont déclaré que la force actuelle du dollar américain les incite davantage à acheter une maison au nord de la frontière. Les raisons principales pour lesquelles ils souhaitent acquérir une propriété récréative au Canada sont l’utilisation de la résidence en plusieurs saisons (39 %), la retraite (38 %) et l’investissement (37 %).

Selon Mme Aunger, « les régions récréatives canadiennes propices aux loisirs hivernaux attirent nos voisins du Sud qui cherchent un endroit où vivre et s’amuser pendant les mois d’hiver. La force du dollar américain, les possibilités d’investissement et le prix relativement abordable des propriétés récréatives attirent les acheteurs du Sud de la frontière. Avec ses stations de ski de renommée mondiale et ses paysages d’hiver pittoresques, le Canada restera un lieu de prédilection pour les acheteurs de propriétés récréatives du monde entier. »

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à proximité des domaines skiables du Canada diminuera de 3,0 % au cours des 12 prochains mois pour atteindre 1 011 451 $.

Tableau – Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage : rlp.ca/tableau_proprietesrecreatives_hiver2022 

Tableau – Sondage 2022 de Royal LePage sur les acheteurs américains de propriétés récréatives au Canada: rlp.ca/acheteurs-americains-proprietes-recreatives-2022

 

SOMMAIRES RÉGIONAUX 

Québec

Mont-Tremblant (Mont-Tremblant, Saint-Faustin-Lac-Carré, La Conception)

Entre le 1er janvier et le 31 octobre 2022, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Mont-Tremblant a augmenté de 23,5 % comparativement à la même période en 2021 pour atteindre 500 000 $, tandis que les ventes ont diminué de 38,1 %. Le prix médian d’une copropriété dans la région a quant à lui bondi de 44,4 % au cours de la même période. Les ventes dans le segment de la copropriété ont toutefois essuyé un recul de 47,8 % en 2022.

Pour ceux à la recherche d’un bien immobilier aux abords des pentes ou au pied de la montagne, le seuil de prix minimal actuel est d’environ 1 200 000 $ pour une maison unifamiliale et de 650 000 $ pour une copropriété.

Selon Paul Dalbec, courtier immobilier agréé chez Les Immeubles Mont-Tremblant, une division de Royal LePage, le marché immobilier de Mont-Tremblant est en pleine transition d’un marché de vendeurs à un marché d’acheteurs, ce qui explique l’important recul des ventes. En effet, voyant les taux d’intérêt augmenter, de nombreux acheteurs potentiels ont adopté une position attentiste.

« Le ralentissement actuel devrait contribuer à rediriger le marché immobilier de Tremblant vers un cycle de vente plus normal », estime M. Dalbec. « Je m’attends à ce que les copropriétés luxueuses entre 700 000 $ et un million de dollars situées sur les pistes et les maisons unifamiliales entre 400 000 $ et 600 000 $ soient les plus affectées par la correction des prix au cours des mois à venir, puisque ces produits se sont davantage appréciés durant la pandémie. »

L’annonce du gouvernement fédéral concernant l’interdiction des investissements étrangers dans le logement au Canada lors du budget d’avril 2022 pourrait également avoir refroidi certains acheteurs internationaux désireux d’acheter une propriété à Mont-Tremblant, selon le courtier.

Royal LePage prévoit que le prix médian des maisons unifamiliales détachées dans la région diminuera de 10 % au cours des 12 prochains mois.

Mont Saint-Sauveur (Saint-Sauveur, Morin-Heights, Piedmont)

Entre le 1er janvier et le 31 octobre 2022, le prix médian d’une maison unifamiliale au Mont Saint-Sauveur a augmenté de 19,7 % en glissement annuel pour atteindre 562 500 $, tandis que les ventes ont diminué de 32,8 % au cours de la même période. Le prix médian d’une copropriété dans la région a pour sa part augmenté de 22,4 % en glissement annuel pour atteindre 382 300 $, alors que les ventes ont chuté de 32,3 %.

Pour ceux à la recherche d’un bien immobilier aux abords des pentes ou au pied de la montagne à Saint-Sauveur, le seuil de prix minimal actuel est d’environ 675 000 $ pour une maison unifamiliale et de 395 000 $ pour une copropriété.

« L’année 2023 devrait faire place à de meilleures conditions de négociation entre vendeurs et acheteurs », affirme Éric Léger, courtier immobilier agréé, Royal LePage Humania, ajoutant que les vendeurs dans la région commencent à réduire leur prix de vente lorsque la mise en marché initiale ne trouve pas preneur. « Les acheteurs se montrent plus confiants et sont beaucoup plus nombreux à présenter des offres d’achat conditionnelles, ce qui avait presque disparu durant l’ère pandémique. Si cette dernière avait placé en concurrence de nombreux premiers acheteurs,  la demande actuelle provient surtout d’acheteurs expérimentés dont le pouvoir d’achat est moins affecté par les aléas de l’économie. »

Selon M. Léger, le choix de propriétés devrait se renouveler de manière plus constante dans la région dans les mois à venir.

Royal LePage prévoit que le prix médian des maisons unifamiliales détachées dans la région diminuera de 5 % au cours des 12 prochains mois. 

Val Saint-Côme et Mont Garceau (Saint-Côme, Saint-Donat) 

Entre le 1er janvier et le 31 octobre 2022, le prix médian d’une maison unifamiliale à proximité de Val Saint-Côme et du Mont Garceau a augmenté de 17,9 % en glissement annuel, passant à 435 000 $, tandis que les ventes dans ce segment ont diminué de 36,3 %.

Pour ceux à la recherche d’un bien immobilier aux abords des pentes ou au pied de la montagne, le seuil de prix minimal est d’environ 450 000 $ pour une maison unifamiliale et de 300 000 $ pour une copropriété, quoique le nombre de propriétés à vendre dans ce segment soit limité.

« Les prix des propriétés dans les secteurs alpins de Lanaudière demeurent parmi les plus abordables des régions alpines du Québec, malgré les fortes hausses enregistrées au cours des deux dernières années », observe Éric Fugère, courtier immobilier, Royal LePage Habitations. « La période actuelle devrait être plus clémente aux acheteurs et leur procurer plus de temps pour faire un choix judicieux et négocier de manière équitable. Le nombre de propriétés sur le marché augmente, mais l’offre demeure limitée tandis que les vendeurs potentiels de la région, souvent propriétaires d’une résidence secondaire, attendent que les conditions économiques s’améliorent et que la demande des acheteurs augmente pour mettre leur propriété sur le marché. »

M. Fugère insiste sur l’importance de travailler avec un professionnel de l’immobilier lors de la vente ou de l’achat d’une propriété récréative, et tout particulièrement l’hiver.

Royal LePage prévoit que le prix médian des maisons unifamiliales détachées dans la région diminuera de 12,5 % au cours des 12 prochains mois.

Bromont, Mont Sutton (Sutton, Brome et Lac Brome) et Mont Orford (Orford et Magog)

L’appréciation de la valeur des propriétés unifamiliales dans les régions de Bromont, du Mont Sutton et du Mont Orford a évolué de manière inégale au cours de la dernière année. Entre le 1er janvier et le 31 octobre 2022, le prix médian d’une propriété unifamiliale détachée au Mont Orford (Orford et Magog) a enregistré une hausse de 17,8 % comparativement à la même période en 2021 pour atteindre 470 000 $. À l’opposé, Bromont et le Mont Sutton (Sutton, Brome et Lac Brome) ont observé une baisse de 0,9 % et de 3,0 % du prix médian des maisons unifamiliales détachées pour atteindre respectivement 586 000 $ et 548 000 $. Au chapitre des ventes de maisons unifamiliales, elles ont diminué de 25,3 %, 39,2 % et 12,7 %, respectivement au Mont Orford, à Bromont, et au Mont Sutton. Pendant la même période, le prix médian d’une copropriété a grimpé de 19,5 % à Bromont et de 16,9 % dans la région du Mont Orford pour atteindre 498 500 $ et 291 000 $, respectivement. Les ventes de copropriétés ont respectivement diminué de 12,5 % et de 27,4 %.

Pour les acheteurs à la recherche d’un bien immobilier aux abords des pentes ou au pied de la montagne, le seuil de prix minimal varie actuellement de 650 000 à 950 000 $ pour une maison unifamiliale et de 450 000 $ à 650 000 $ pour une copropriété parmi les trois régions alpines des Cantons de l’Est à l’étude.

« Les hausses considérables des prix des maisons observées entre 2020 et la première moitié de 2022 dans les Cantons de l’est donnent lieu aujourd’hui à une migration de la demande vers des marchés moins achalandés et moins dispendieux », affirme Véronique Boucher, courtier immobilier chez Royal LePage Au Sommet. « Certains marchés immobiliers comme Bromont ont atteint des sommets d’appréciation, ce qui explique la stabilisation des prix cette année, au profit d’autres régions plus abordables et un peu plus éloignées telles qu’Orford. Sur le marché de la copropriété, la demande en matière de biens locatifs a joué un rôle dans l’appréciation de la valeur marchande ces dernières années à Orford, étant donné le potentiel de revenus additionnels issu de la location à court terme ainsi que de la valeur de revente », explique-t-elle.

À l’aube de la nouvelle année, Mme Boucher anticipe que l’appréciation des prix des propriétés en 2023 sera grandement dépendante du nombre de nouvelles inscriptions qui feront leur entrée sur le marché, ce qui pourrait accroître le pouvoir de négociation des acheteurs. En considérant que les taux d’intérêt demeureront relativement élevés, les prix devraient continuer de fléchir graduellement durant le premier semestre de l’année.

Royal LePage prévoit que le prix médian des maisons unifamiliales détachées diminuera respectivement de 5,5 % à Bromont, de 4,0 % à Sutton et de 3,0 % à Orford au cours des 12 prochains mois.

Stoneham/Lac-Beauport (Stoneham-et-Tewkesbury, Lac Delage, St-Gabriel-de-Valcartier, Lac-Beauport) et Mont Sainte-Anne (Beaupré, Sainte-Anne-de-Beaupré, Saint-Ferréol-les-Neiges, Saint-Joachim)

Entre le 1er janvier et le 31 octobre 2022, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Stoneham et au Lac-Beauport a augmenté de 15,9 % en glissement annuel pour atteindre 475 300 $, tandis que les ventes ont diminué de 26,5 % au cours de la même période.

Pour ceux à la recherche d’un bien immobilier aux abords des pentes ou au pied de la montagne, le seuil de prix minimal aujourd’hui est d’environ 700 000 $ pour une maison unifamiliale et de 300 000 $ pour une copropriété.

Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale dans la région du Mont Sainte-Anne a augmenté de 4,1 % en glissement annuel pour atteindre 286 200 $, tandis que les ventes ont reculé de 26,6 %. Le prix médian d’une copropriété dans la région a pour sa part augmenté de 16,0 % en glissement annuel pour atteindre 145 000 $, tandis que les ventes de copropriétés ont augmenté de 10,4 % au cours de la même période.

Pour ceux à la recherche d’un bien immobilier près des pentes ou au pied de la montagne, le prix d’entrée de gamme atteint environ 700 000 $ pour une maison unifamiliale et 300 000 $ pour une copropriété.

« L’appréciation en flèche du prix des propriétés récréatives observée au cours des deux dernières années devait connaître un dénouement », affirme Marc Bonenfant, courtier immobilier agréé, Royal LePage Inter-Québec. « L’heure est à l’ajustement dans les régions récréatives de la Capitale-Nationale et nous devrions bientôt entrer dans un meilleur équilibre entre l’offre et la demande. Cela signifie que les prix continueront de s’assouplir d’ici la fin de l’année et pour une bonne partie de 2023. Les délais de vente devraient aussi continuer de s’étirer, quoiqu’ils demeurent encore sous la normale de la dernière décennie dans la région. »

Royal LePage prévoit que le prix médian des propriétés unifamiliales diminuera de 10,0 % sur le marché de Stoneham/Lac-Beauport et de 8,0 % sur celui du Mont Sainte-Anne au cours des 12 prochains mois.

Tableau – Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage : rlp.ca/tableau_proprietesrecreatives_hiver2022 

Tableau – Sondage 2022 de Royal LePage sur les acheteurs américains de propriétés récréatives au Canada: rlp.ca/acheteurs-americains-proprietes-recreatives-2022

Ontario

Sud de la baie Georgienne (Collingwood/Meaford/Thornbury)

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives du sud de la baie Georgienne a augmenté de 11,3 % en glissement annuel pour atteindre 890 000 $. Pendant cette même période, le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 1,3 % pour s’établir à 679 000 $. Il s’agit d’un contraste marqué avec 2021, année durant laquelle le prix des copropriétés avait augmenté de plus de 50 % par rapport à la même période, l’année précédente. Pour ceux qui cherchent à acheter une propriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 1 500 000 $. Dans la région, les ventes totales ont diminué de 27 % en glissement annuel, après des volumes de ventes historiques en 2021.

« Bien que le nombre de maisons mises sur le marché ait augmenté, nous constatons une baisse notable de l’activité de vente. Le nombre de jours qu’une propriété reste généralement sur le marché a augmenté d’environ 30 % depuis le début de l’année, revenant ainsi aux niveaux d’avant la pandémie alors que le boom des achats tire à sa fin », indique Desmond von Teichman, dirigeant d’agence, Royal LePage Locations North. « Or, la demande reste forte. Nous continuons à voir plusieurs résidents de la région du Greater Golden Horseshoe pouvant travailler à distance s’installer définitivement dans la région à la recherche de biens immobiliers plus abordables et d’une meilleure conciliation travail-vie personnelle. Bien que cette tendance se soit affaiblie, nous n’envisageons pas qu’elle s’essoufflera bientôt. »

Selon M. von Teichman, le marché de la location à court terme de propriétés récréatives a subi des pressions ces derniers temps. Avec la reprise des voyages dans le monde, les locations saisonnières font face à une baisse de la demande et à une offre croissante, les Canadiens choisissant de passer leurs vacances à l’étranger. Les effets d’une inflation plus élevée, de la hausse des taux d’intérêt et de l’augmentation du coût de la vie ont également affaibli la demande de locations, alors que de nombreux Canadiens réduisent leurs dépenses discrétionnaires. Bien qu’il y ait eu une légère baisse de la demande de propriétés de luxe par rapport à 2021, M. von Teichman ajoute que, cette année, ce segment du marché a connu de meilleures performances que le marché immobilier dans son ensemble.

« Étant donné sa proximité avec la région du Grand Toronto, le marché immobilier du sud de la baie Georgienne est largement stimulé par une demande provenant de l’Ontario », mentionne M. von Teichman. « Ici, les acheteurs urbains peuvent être quelque peu à l’abri des impacts de la hausse des taux d’intérêt, puisque la valeur nette de leur propriété dans les zones environnantes où les prix sont élevés a tendance à augmenter leur pouvoir d’achat. »

L’activité dans le marché découle principalement de la demande locale des villes voisines. Cependant, l’Ontario demeure une destination intéressante pour les acheteurs américains. Quarante-trois pour cent des citoyens américains vivant dans les États frontaliers qui possèdent actuellement une propriété récréative au Canada ont acheté une maison en Ontario. Parmi ceux qui ont l’intention d’acquérir une propriété récréative au Canada, 48 % disent avoir l’intention de l’acheter dans cette province.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée dans le sud de la baie Georgienne augmentera de 5,0 % au cours des 12 prochains mois, alors que le marché poursuivra son retour aux tendances saisonnières d’avant la pandémie.

Tableau – Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage : rlp.ca/tableau_proprietesrecreatives_hiver2022 

Tableau – Sondage 2022 de Royal LePage sur les acheteurs américains de propriétés récréatives au Canada: rlp.ca/acheteurs-americains-proprietes-recreatives-2022

Alberta

Canmore

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de Canmore a augmenté de 23,6 % en glissement annuel pour atteindre 1 588 900 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 5,9 % pour s’établir à 663 400 $. Dans la région, les ventes totales ont diminué de 41 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Après une année record en 2021, les ventes ont eu tendance à se rapprocher des normales historiques à long terme. Pendant plusieurs années, le marché a été en faveur des vendeurs, mais nous avons récemment commencé à observer des signes indiquant que nous nous dirigeons vers un marché plus équilibré dans certains segments », rapporte Brad Hawker, dirigeant d’agence, Royal LePage Solutions. « Le nombre de propriétés sur le marché est resté semblable à celui de l’année dernière, soit encore bien inférieur aux chiffres habituels, ce qui continue d’exercer une pression à la hausse sur les prix. Les vendeurs peuvent être réticents à mettre en vente leur maison dans la région, puisque le choix de propriétés récréatives de plus haut de gamme est limité. »

Selon M. Hawker, Canmore, comme c’est le cas dans plusieurs autres marchés de propriétés récréatives, continue de voir des acheteurs pouvant travailler à distance s’installer dans la communauté. Le fait que les entreprises exigent de leurs employés qu’ils travaillent dans leurs bureaux ou qu’ils adoptent un mode de travail hybride a entraîné une baisse des demandes concernant des déménagements, mais M. Hawker prévoit que l’option du télétravail existera pour un avenir prévisible, ce qui ajoutera de la pression au marché, parallèlement à la demande accrue des retraités.

« Plusieurs acheteurs de Canmore n’ont pas besoin de financement. Par conséquent, comparativement à d’autres régions, la hausse des taux d’intérêt n’a pas un impact aussi important sur notre marché. Bien que je m’attende à un fléchissement des prix au cours de la prochaine année, les baisses seront modestes », précise M. Hawker. « L’impact de la hausse des coûts d’emprunt sur l’économie globale incite toutefois certains acheteurs à adopter une approche attentiste. La plupart des acheteurs sur ce marché ont le luxe de disposer de temps et attendent de voir comment les choses évolueront. »

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Canmore diminuera de 4,0 % au cours des 12 prochains mois, les ventes devant revenir à la moyenne des 10 dernières années de la région.

Tableau – Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage : rlp.ca/tableau_proprietesrecreatives_hiver2022 

Tableau – Sondage 2022 de Royal LePage sur les acheteurs américains de propriétés récréatives au Canada: rlp.ca/acheteurs-americains-proprietes-recreatives-2022 

Colombie-Britannique 

Whistler

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de Whistler a augmenté de 14,8 % en glissement annuel pour atteindre 3 648 200 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 9,7 % pour s’établir à 673 300 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une maison ou une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 2 000 000 $ et 600 000 $, respectivement. Dans la région, les ventes totales ont diminué de 35 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Outre le ski, les activités estivales comme le vélo et le golf, jumelées à la volonté générale des gens d’être dans la nature pour profiter du plein air, font de Whistler une destination récréative populaire tout au long de l’année qui attire les acheteurs de propriétés de luxe régionaux et internationaux », indique Frank Ingham, dirigeant d’agence, Royal LePage Sussex. « Les ventes de maisons ont diminué de manière importante par rapport au boom d’achat de la pandémie. Mais la demande de propriétés dans la région reste forte, bien qu’elle ait quelque peu fléchi comparativement à l’année dernière. Aujourd’hui, les acheteurs potentiels ont plus de choix et plus de temps pour conclure un accord, étant donné que le nombre de propriétés sur le marché continue d’augmenter, tout comme le nombre de jours moyen sur le marché. »

Whistler, qui est exemptée de la taxe sur la spéculation et l’inoccupation immobilières de la Colombie-Britannique, attire depuis longtemps les acheteurs de propriétés haut de gamme du monde entier, dont plusieurs de Seattle (Washington). Trente-deux pour cent des citoyens américains vivant dans les États frontaliers qui possèdent actuellement une propriété récréative au Canada ont acheté une maison en Colombie-Britannique. Parmi ceux qui envisagent d’acheter une propriété récréative au Canada, 33 % disent avoir l’intention de l’acheter dans cette province.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Whistler diminuera de 10,0 % au cours des 12 prochains mois, les ventes devant poursuivre leur tendance à la baisse, ce qui entraînera un surplus de propriétés sur le marché.

Invermere

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives d’Invermere a augmenté de 4,8 % en glissement annuel pour atteindre 627 500 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 22,2 % pour s’établir à 275 000 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une maison ou une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 525 000 $ et 250 000 $, respectivement. Dans la région, les ventes totales ont diminué de 33 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Le marché immobilier d’Invermere commence à passer d’un marché fortement en faveur des vendeurs à un marché plus équilibré. Les propriétés intéressantes et inscrites à un bon prix continuent de se vendre rapidement, mais nous n’observons pas le même niveau de demande qu’en 2021. Cette année, la baisse du volume des ventes est directement liée à la hausse des taux d’intérêt », mentionne Barry Benson, dirigeant d’agence, Royal LePage Rockies West Realty. « Bien que nous n’observions pas une hausse importante des offres de revente cette année, le nombre de propriétés récréatives offertes en location à court terme a augmenté, plusieurs propriétaires se tournant vers le marché de la location comme source de revenus pour compenser la hausse des coûts d’emprunt. »

Selon M. Benson, au cours de la dernière année, la demande de jeunes couples et de retraités à la recherche de logements abordables et d’une meilleure qualité de vie est restée stable. La proximité d’Invermere de Calgary en fait une option particulièrement attrayante pour les acheteurs albertains qui recherchent une meilleure conciliation travail-vie personnelle. Au cours de la prochaine année, alors qu’Invermere continuera d’enregistrer une demande pour des maisons récréatives et des propriétés en location à court terme qui offrent un accès à des loisirs tout au long de l’année, les volumes de ventes, après avoir atteint des sommets historiques en 2021, devraient revenir au niveau d’avant la pandémie, ce qui entraînera une baisse des prix des maisons. Le nombre limité de propriétés sur le marché contribuera à maintenir la compétitivité du marché et à empêcher d’importantes baisses de prix.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Invermere diminuera de 7,5 % au cours des 12 prochains mois.

Revelstoke

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de Revelstoke a augmenté de 13,3 % en glissement annuel pour atteindre 850 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 36,6 % pour s’établir à 778 500 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une maison ou une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 5 000 000 $ et 900 000 $, respectivement. Dans la région, les ventes totales ont diminué de 18 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Les ventes de propriétés ont ralenti depuis le début des hausses des taux d’intérêt au début de l’année, les premiers acheteurs et les personnes ayant un budget plus serré étant les plus touchés par la hausse des coûts d’emprunt. Malgré tout, il s’agira de la deuxième meilleure année jamais enregistrée dans la région, souligne Don Teuton, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Revelstoke. « Le marché est plus équilibré que l’an dernier. La demande s’étant affaiblie, les acheteurs potentiels se trouvent dans un environnement beaucoup moins concurrentiel. Bien que la hausse des prix des maisons et la pénurie de propriétés sur le marché demeurent un défi, il est peu probable que les hausses de prix enregistrées depuis le début du boom de la pandémie se maintiennent. »

Selon M. Teuton, les acheteurs de l’extérieur de la région, y compris certains provenant d’autres communautés récréatives plus coûteuses, continuent de profiter de la valeur nette de leur propriété existante pour s’installer à Revelstoke à la recherche d’un mode de vie plus équilibré. Malgré la force actuelle du dollar américain, la demande des acheteurs internationaux a été freinée par les craintes découlant de la pandémie et les restrictions de voyage. Cependant, M. Teuton s’attend à ce que cette tendance s’inverse au cours des prochaines années.

Trente-deux pour cent des citoyens américains vivant dans les États frontaliers qui possèdent actuellement une propriété récréative au Canada ont acheté une maison en Colombie-Britannique. Parmi ceux qui envisagent d’acheter une propriété récréative au Canada, 33 % disent avoir l’intention de l’acheter dans cette province.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Revelstoke diminuera de 10,0 % au cours des 12 prochains mois, puisqu’on s’attend à de nouvelles hausses des taux d’intérêt et à une incertitude économique persistante. 

Mount Washington et Comox Valley

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de la région de Mount Washington et de Comox Valley a diminué de 5,6 % en glissement annuel pour atteindre 850 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 18,8 % pour s’établir à 475 000 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 300 000 $. Dans la région, le nombre total de ventes a diminué de 71 % par rapport à la même période l’an dernier en raison du nombre de propriétés sur le marché historiquement bas qui a atteint des niveaux quasi nuls au cours des six derniers mois.

« Le sentiment d’urgence a disparu du marché immobilier de Mount Washington et de Comox Valley, ce qui se traduit par des conditions plus saines et plus équilibrées pour les acheteurs et les vendeurs », mentionne Rick Gibson, courtier immobilier, Royal LePage in the Comox Valley. « Depuis la fin du mois de juin, le prix des propriétés s’est stabilisé. Comme les locataires et les acheteurs au comptant sont courants sur ce marché, la région est quelque peu à l’abri des effets de la hausse des taux d’intérêt. »

« Mount Washington est une destination quatre saisons où les résidents peuvent profiter des activités en montagne l’hiver et des plages, des terrains de golf et des randonnées l’été », ajoute M. Gibson. « Si le nombre de propriétés sur le marché devait augmenter, je prévois que les ventes augmenteraient aussi. »

Selon M. Gibson, un manque d’options de transport pratiques, comme des vols vers et depuis les États adjacents, dissuade plusieurs Américains d’acheter une propriété dans la région.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Mount Washington et à Comox Valley augmentera de 8,0 % au cours des 12 prochains mois, alors que l’on s’attend à ce que le nombre de propriétés extrêmement bas continue d’exercer une pression à la hausse sur les prix en 2023.

Sun Peaks

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de Sun Peaks a augmenté de 13,0 % en glissement annuel pour atteindre 1 540 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 26,6 % pour s’établir à 504 500 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une maison ou une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 1 350 000 $ et 320 000 $, respectivement. Dans la région, qui est située à l’extérieur de Kamloops en Colombie-Britannique, les ventes totales ont diminué de 25 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Bien que les ventes soient en baisse en glissement annuel et que le nombre de propriétés sur le marché ait légèrement diminué, le prix des maisons a manifestement augmenté au cours de la dernière année. Le marché immobilier a perdu un peu de sa vigueur par rapport aux niveaux d’activité de 2021, mais il reste favorable aux vendeurs », indique Kyle Panasuk, courtier immobilier, Royal LePage Westwin Realty. « Les acheteurs pouvant travailler à distance continuent de chercher un espace de bureau à domicile. L’école et la patinoire du quartier ainsi que l’accès direct aux pistes de ski de Sun Peaks attirent de nombreux acheteurs locaux ainsi que des télétravailleurs de l’extérieur de la région qui souhaitent s’installer définitivement dans la communauté. »

Selon M. Panasuk, le marché de la location à court terme de propriétés récréatives continue à bien se porter à Sun Peaks. La hausse des taux d’intérêt, qui a eu un impact sur le pouvoir d’achat des acheteurs de propriétés principales et récréatives, pourrait encourager certains propriétaires à louer leurs propriétés pour récupérer une partie de leurs dépenses mensuelles.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Sun Peaks augmentera de 8,0 % au cours des 12 prochains mois.

Big White

Au cours des 10 premiers mois de l’année, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée sur le marché des propriétés récréatives de Big White a augmenté de 45,5 % en glissement annuel pour atteindre 1 600 000 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 11,1 % pour s’établir à 500 000 $. Pour ceux qui cherchent à acheter une maison ou une copropriété au bord des pentes ou au pied de la montagne, les prix commencent généralement à 900 000 $ et 400 000 $, respectivement. Dans la région, qui se situe à l’extérieur de Kelowna en Colombie-Britannique, les ventes totales ont diminué de 33 % par rapport à la même période l’an dernier.

« Comme Big White continue d’attirer les acheteurs de propriétés récréatives de luxe, les transactions dans le segment supérieur du marché sont en grande partie responsables de la hausse spectaculaire des prix observée dans le segment des maisons unifamiliales. Cependant, la demande a ralenti au cours de la dernière année, les acheteurs réagissant à la hausse des taux d’intérêt et les vendeurs se sentant moins pressés de mettre leurs propriétés en vente », rapporte Andrew Braff, courtier immobilier, Royal LePage Kelowna. « Avec le ralentissement de l’activité, nous observons moins de scénarios d’offres multiples par rapport à l’année dernière. »

M. Braff note que les propriétaires de propriétés de luxe sont moins touchés par les changements dans le marché et plus susceptibles de garder à long terme leur propriété dans la famille afin que plusieurs générations puissent en profiter.

Outre les acheteurs locaux, la région de ski de renommée mondiale attire une demande de l’autre côté de la frontière et du monde entier. Or, les restrictions de voyage liées à la pandémie des deux dernières années ont contraint certains propriétaires internationaux à visiter moins fréquemment leurs propriétés récréatives.

Trente-deux pour cent des citoyens américains vivant dans les États frontaliers qui possèdent actuellement une propriété récréative au Canada ont acheté une maison en Colombie-Britannique. Parmi ceux qui envisagent d’acheter une propriété récréative au Canada, 33 % disent avoir l’intention d’en acheter une dans cette province.

Royal LePage prévoit que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée à Big White augmentera de 7,0 % au cours des 12 prochains mois.

Tableau – Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage : rlp.ca/tableau_proprietesrecreatives_hiver2022 

Tableau – Sondage 2022 de Royal LePage sur les acheteurs américains de propriétés récréatives au Canada: rlp.ca/acheteurs-americains-proprietes-recreatives-2022

 

Actifs médias de Royal LePage 

La salle des médias de Royal LePage contient de nombreuses images libres de droits, de même que des vidéos de bobine B, à titre gracieux.

À propos du rapport

Le Rapport sur les propriétés récréatives d’hiver 2022 de Royal LePage compile des perspectives, des données et des prévisions provenant de 16 régions de ski populaires. Les données sur les prix médians et les ventes ont été compilées et analysées par Royal LePage pour la période allant du 1er janvier au 31 octobre en 2022 et pour la même période en 2021. Les données ont été obtenues par l’entremise des agences et des chambres immobilières présentes dans chacune des régions étudiées. La disponibilité des données repose sur un seuil transactionnel et sur les données régionales disponibles utilisant les types d’habitation standards à l’étude dans le rapport.

À propos du sondage de Léger 

Un sondage en ligne a été mené entre le 8 et le 14 novembre 2022 auprès de 1506 citoyens américains âgés de plus de 18 ans vivant dans les États frontaliers (Maine, New York, Vermont, Pennsylvanie, Michigan, Ohio, Wisconsin, Minnesota, Dakota du Nord, Montana, Washington, New Hampshire, Idaho, Oregon, Massachusetts, Indiana et Illinois) en utilisant le panel en ligne de Léger. Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel en ligne dans ce cas). Toutefois, à des fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 1506 répondants aurait une marge d’erreur de +/-2,5 % pour n=1500. 

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de près de 20 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ». Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.royallepage.ca.

Contact média:

Lara Berguglia
North Strategic pour le compte de Royal LePage
lara.berguglia@northstrategic.com
514-994-2382


[1] Royal LePage a compilé et analysé les données sur les prix médians et les ventes à proximité de 16 domaines skiables populaires du Canada pour les périodes allant du 1er janvier 2022 au 31 octobre 2022 et du 1er janvier 2021 au 31 octobre 2021. Les données ont été obtenues auprès des courtiers et des chambres immobilières locales dans chacune des régions considérées.

[2] Gouvernement du Canada, https://www.budget.canada.ca/2022/report-rapport/chap1-fr.html#m23

[3] Un sondage en ligne a été mené entre le 8 et le 14 novembre 2022 auprès de 1506 citoyens américains âgés de plus de 18 ans vivant dans les États frontaliers (Maine, New York, Vermont, Pennsylvanie, Michigan, Ohio, Wisconsin, Minnesota, Dakota du Nord, Montana, Washington, New Hampshire, Idaho, Oregon, Massachusetts, Indiana et Illinois) en utilisant le panel en ligne de Léger. Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste (c.-à-d. un panel en ligne dans ce cas). Toutefois, à des fins de comparaison, un échantillon probabiliste de 1506 répondants aurait une marge d’erreur de +/-2,5 % pour n=1500.