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POURSUITE DE LA REMONTÉE DU PRIX DES MAISONS AU CANADA EN RAISON DES FAIBLES TAUX D’INTÉRÊT ET D’UNE ÉCONOMIE NATIONALE RELATIVEMENT STABLE QUI INSPIRENT LA CONFIANCE

Bien que certaines régions connaissent un ralentissement, l’hypothèse d’une correction imminente du marché comme aux États-Unis est sans fondement, selon Royal LePage

TORONTO, le 5 octobre 2011 – L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage diffusée aujourd’hui indique que le prix moyen d’une habitation au Canada a augmenté entre 5,7 et 7,8 pour cent au troisième trimestre de 2011, par rapport à l’année dernière. Au Canada, la forte hausse du prix des maisons que nous avons connue au cours du troisième trimestre a déjoué les prévisions. En effet, les taux d’intérêt très bas ont eu pour effet de stimuler la confiance des consommateurs se retrouvant dans un climat économique relativement stable Les hausses annuelles semblent cependant plus élevées qu’elles ne le sont réellement, si on les compare aux maigres résultats du troisième trimestre de 2010.

«La force du marché immobilier canadien dissimule des signes d’assouplissement prévisibles dans certains secteurs, »affirme Phil Soper, président et chef de la direction, Services immobiliers Royal LePage. « Au troisième trimestre, nous avons connu un retour au cycle économique saisonnier normal se traduisant par un ralentissement de la hausse des prix dans de nombreux secteurs, et même une légère chute de certaines valeurs moyennes, après un printemps très riche en activité immobilière. On s’attend à un ralentissement plus important au cours des prochains mois, mais les craintes à l’égard d’une correction du marché comme chez nos voisins américains ne sont pas fondées.»

Au cours du troisième trimestre de 2011, le prix moyen d’une maison individuelle de plain pied au Canada s’est hissé à 349 974 $ (hausse de 7,8 pour cent) comparativement à l’an dernier, celui d’une maison standard à deux étages, à 388 218 $ (hausse de 7,7 pour cent), et celui d’un appartement en copropriété standard, à 239 300 $ (hausse de 5.7 pour cent).

« Pour informer les Canadiens le plus précisément possible sur les marchés immobiliers, Royal LePage utilisent des périodes comparatives. Il est important de noter qu’il est grandement avantageux de comparer directement les résultats du troisième trimestre de 2011 avec ceux de l’année précédente qui étaient de loin les plus faibles qui soient pour la période », ajoute M. Soper.

La demande soutenue des acheteurs étrangers a contribué à faire grimper les prix dans les principaux marchés du pays : à Vancouver, les maisons standard à deux étages se sont appréciées de 16,9 pour cent au cours de l’année pour passer à 1 142 500 $, alors qu’à Toronto, les maisons individuelles de plain-pied atteignaient 518 433 $, soit une hausse de 9,4 pour cent.

Par ailleurs, alors que le volume de transactions immobilières a augmenté en Alberta, le prix des maisons est demeuré faible dans la province. À Calgary, le prix des maisons individuelles de plain pied a chuté de 1 pour cent au cours du troisième trimestre alors qu’à Victoria, le prix des maisons individuelles de plain pied et des maisons standard à deux étages a baissé respectivement de 2 et de 1,1 pour cent.

« Au Canada, les propriétaires de maisons ont fait la sourde oreille au chahut économique qui secouait les marchés immobiliers en Europe et aux États Unis, » d’ajouter M. Soper. « Une économie nationale résiliente jumelée à l’effet stimulateur des taux d’intérêt extrêmement bas a prolongé le rebond de l’après-récession à l’égard du prix des maisons, mais il est évident qu’il y a surréaction dans certains marchés. Bien que certains analystes aient prédit que le ciel s’effondrerait sur le marché immobilier canadien comme ce fut le cas aux États Unis, nous n’avons pas les conditions structurelles qui ont donné lieu à l’effondrement du marché immobilier aux États Unis il y a six ans. »

RÉSUMÉS DES MARCHÉS RÉGIONAUX

Au Canada atlantique, bien que les principaux marchés soient demeurés peu animés au cours de la dernière année, Halifax a enregistré de solides hausses pour les trois types de propriétés, dont une majoration de 10,4 pour cent pour les appartements en copropriété standard. Tout comme à Halifax, le prix moyen des appartements en copropriété standard à Saint John reflète une hausse de 10,4 pour cent attribuable à des inscriptions de propriétés riveraines haut de gamme. Le climat de confiance qui règne toujours à l’égard du marché immobilier résidentiel à Montréal s’est traduit sur douze mois par une hausse de 4,4 pour cent pour les maisons standard à deux étages, dont le prix atteint 367 500 $, et une hausse de 7,6 pour cent pour les appartements en copropriété, dont le prix se situe à 236 333 $.

On note une forte augmentation des trois types d’habitations étudiés à Ottawa, où les maisons standard à deux étages affichent une hausse moyenne de 8,4 pour cent. Quant aux appartements en copropriété standard et aux maisons individuelles de plain pied, ils se sont appréciés respectivement de 7,9 pour cent et de 7 pour cent.

En raison d’une pénurie de propriétés, Toronto a connu une impressionnante hausse de prix pour l’ensemble des trois types d’habitation étudiés. Les maisons standard à deux étages se sont appréciées de 7,6 pour cent et les maisons individuelles de plain pied, de 9,4 pour cent sur douze mois. Comme il était plus facile de répondre à la demande et que le nombre des propriétés était plus élevé sur le marché, le prix des appartements en copropriété standard a enregistré une solide hausse, quoique plus modeste, de 6,0 pour cent.

À Winnipeg, la croissance de la population a engendré une solide majoration des prix : les appartements en copropriété standard se sont appréciés de 6,4 pour cent, les maisons individuelles de plain-pied de 5,1 pour cent et les maisons standard à deux étages de 4,4 pour cent.

À Calgary et à Edmonton, les marchés sont demeurés peu animés au cours de la dernière année, exception faite des appartements en copropriété standard qui se sont appréciés respectivement de 3,2 pour cent et de 3,9 pour cent. À Edmonton, les maisons à deux étages affichent une hausse de 3,8 pour cent.

À Vancouver, les types de maisons traditionnelles se sont démarqués de façon exceptionnelle; le prix des maisons individuelles de plain pied a augmenté de 17 pour cent au cours des douze derniers mois et celui des maisons standard à deux étages, de 16,9 pour cent. Dans cette ville, les appartements en copropriété ont enregistré une bonne hausse, quoique plus modeste, de 5,1 pour cent, attribuable au nombre plus élevé de propriétés sur le marché.

Voici les changements de prix annuels que révèle l’Étude trimestrielle sur le prix des maisons de Royal LePage, pour les catégories d’habitations clés dans des marchés nationaux sélectionnés. Cliquez ici pour télécharger le tableau.

À propos de L’Étude sur le prix des maisons au Canada de Royal LePage

L’Étude sur le prix des maisons au Canada de Royal LePage est l’analyse immobilière la plus vaste et la plus exhaustive de ce genre au pays. Elle fournit de l’information sur sept types d’habitations répartis dans plus de 250 villes et quartiers d’un océan à l’autre. Le présent communiqué renvoie quant à lui à une version abrégée de l’Étude mettant en lumière l’évolution des prix des trois types d’habitations les plus courants dans 90 communautés à l’échelle du pays. Il est possible de consulter une base de données contenant les données recueillies au cours des sondages en visitant le site Web de Royal LePage à l’adresse www.royallepage.ca, et les données actuelles seront mises à jour dès la fin du troisième trimestre. Une version imprimable du rapport du troisième trimestre de 2011 sera disponible en ligne le 4 novembre 2011.

Les valeurs des propriétés indiquées dans l’Étude sur les prix des maisons de Royal LePage correspondent à l’évaluation de Royal LePage de la valeur marchande des propriétés de chaque endroit en fonction des données locales et des renseignements sur le marché fournis par les experts du secteur immobilier résidentiel de Royal LePage.

Étude sur le prix des maisons Royal LePage du 3e trimestre 2011 : tableau

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Stéphanie Panneton
Fleishman Hillard Inc.
514.866.6776, poste 320
stephanie.panneton@fleishman.ca

Tammy Gilmer
Directrice, Relations publiques et Communications nationales
Services immobiliers Royal LePage
416.510.5783